Coordination des Associations & Particuliers pour la Liberté de Conscience
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CAP pour la Liberté de Conscience - Liberté de Religion - Liberté de Conviction
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ACTUALITÉS SUR LE GRILL
 


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Entraves à la liberté de culte à Montreuil

Une réunion d'évangélisation qui devait avoir lieu le 1er juillet 2006 dans une église évangélique de Montreuil (93) a été interdite par un arrêté du Maire. Mr Brard (Vice-Président du groupe d'études sur les "sectes" et Membre du Conseil d'orientation de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les "dérives sectaires", Miviludes), dénoncé récemment par la Fédération Protestante de France après qu'il ait interrompu plusieurs cultes dominicaux, a porté une nouvelle fois atteinte à la liberté d'expression. Abus de pouvoir ou mesure visant à rétablir l'ordre public ?

C'est le 17 juin que toute l'affaire a commencé, quand une mission évangélique - dont les statuts dûment déposés en Préfecture mentionnent des animations de rue auprès des enfants - se lance dans la distribution de pochettes contenant quelques tracts, un Evangile de Jean et une invitation pour une réunion de clôture, le samedi 1er juillet.

Rien de subversif dans le contenu de ces pochettes puisque l'organisation, installée en France depuis près de 60 ans, y présente le message de l'Evangile et enseigne aux enfants le respect dû aux autorités (parents, enseignants, acteurs sociaux...). Pour autant cette distribution à Montreuil dans le fameux "neuf-trois" se déroulait en terrain miné et ne faisait pas forcément l'unanimité parmi les principaux acteurs évangéliques de la ville. Le 19 juin, soit 2 jours après le début de l'action d'évangélisation, le Maire communiste prenait un premier arrêté interdisant toute distribution dans sa ville, un second barrant l'accès à l'affichage public et interpellait en des termes très durs une des équipes de distributeurs. Une dizaine d'adolescents venus de Norvège pour l'occasion étaient appréhendés pratiquement comme des malfaiteurs dans la rue et, sous une certaine pression, contraints de signer un procès-verbal. Sans comprendre (aucun d'eux ne parlait le français), ils se voyaient infliger une amende de 11 euros par personne.

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« Le droit de savoir » enquête sur les guérisseurs.

Enquêtons sur “Le droit de savoir” !

L’émission “Le droit de savoir” du mardi 13 novembre à 22h35 sur TF1 a pour objet les guérisseurs : leurs pouvoirs de guérison sont-ils bien réels ou s'agit-il de charlatans ? Le magazine, présenté par Charles Villeneuve, y consacre une grande enquête qui sera diffusée mardi 13 novembre à 22h35 sur TF1.

L’émission est ainsi présentée : « Les équipes du “Le droit de savoir” ont mené l'enquête pendant plusieurs mois chez un des plus grands magnétiseurs de France. Elles ont suivi un stage de shamanisme, une des dernières tendances à la mode de la médecine parallèle. Mais, surtout, elles ont découvert les dérives sectaires de certains de ces praticiens qui utilisent les malades comme de véritables cobayes. Cancer, sida, ils prétendent tout guérir mais font de nombreuses victimes. Le plus incroyable est que certains d'entre eux parviennent à passer entre les mailles du filet de la justice ». D’ores et déjà, au vu de cet argumentaire, il apparaît évident que cette émission va avoir pour objet, non pas de tenter de savoir si l’on peut guérir “autrement”, mais bien de stigmatiser les démarches non conventionnelles.

TF1 ayant signé, le 20 mars dernier, un Convention avec le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), nous connaissons désormais les bases des obligations déontologiques de ce média.

Voir le texte : http://www.csa. fr/

Chacun est invité à visionner cette émission et à noter tous les points du code de déontologie que cette émission n'aurait pas respectés (ex.: caméras cachées, partialité, accusations sans preuve, non prise en compte de l’avis des intéressés, etc.).Ensuite, chacun pourra protester des dérives recensées en écrivant au président du CSA :

Michel Boyon
CSA - Tour Mirabeau
39-43, quai André-Citroën
75739 Paris cedex 15

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Vaccin : « Pas de preuve scientifique ! »

Le député qui présidait une table ronde sur la vaccination en France, le 6 juin dernier au Sénat, estime «qu’il n’existe pas de preuve scientifique sur l’utilité des vaccins».

Dans notre enquête sur l’obligation vaccinale, nous avions pointé les contradictions et insuffisances de la politique vaccinale en France, démontrant que la suspicion croissante des Français vis-à-vis de cette pratique était due essentiellement à une attitude autoritaire des pouvoirs publics, au manque de transparence sur les effets secondaires, à une connaissance encore faible de l’immunologie et à la diabolisation d’une partie de la population (les associations pour la liberté vaccinale et les sectes), etc.

Nous avions alors conclu, non bien sûr à l’inutilité des vaccins, mais à la nécessité d’approfondir l’étude scientifique sur les vaccinations ainsi qu’à la nécessité d’ouvrir un débat citoyen.

Lors d’une table ronde sur le thème « Les vaccins en France : quels enjeux pour l’industrie pharmaceutique et la recherche ? », réunie le mercredi 6 juin dernier, sous la présidence de Jean-Michel Dubernard, organisé par l’Office parlementaire d’évaluation des politiques de santé (Opeps), nous apprenons maintenant que « l’utilité des vaccins n’est pas prouvée scientifiquement ».

Lire le communiqué Agoravox

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"Une Liste sans valeur juridique"

Le 18 septembre 2007, le tribunal administratif de Caen a rendu une décision sur une affaire concernant la plainte de M François D. et de l’Association locale pour le culte de des témoins de Jéhovah.

Dans les faits, en mars 2005, le directeur de l’hôpital X a refusé toute visite aux témoins de Jéhovah à M Michel, en raison de leur appartenance religieuse. Le directeur avait justifié de sa décision par la classification des témoins de Jéhovah par une commission parlementaire dans les mouvements à caractère sectaire.

Dans son jugement le tribunal Administratif de Caen rappelle : "qu’à cet égard, le directeur de l’hôpital ne saurait, en tout état de cause, se prévaloir d’un rapport établi par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale classant les Témoins de Jehovah parmi les "sectes", un tel rapport étant dépourvu de valeur Juridique"

Le TA de Caen annule donc la décision de l’hôpital X d’interdire la visite aux témoins de Jéhovah de M Michel P et condamne aussi l’hôpital à verser la somme de 500 euros.

Lire la décision

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