Coordination des Associations & Particuliers pour la Liberté de Conscience
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CAP pour la Liberté de Conscience - Liberté de Religion - Liberté de Conviction
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ACTUALITÉS SUR LE GRILL
 


Sommaire des actualités

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Miviludes : Questions au Parlement

Question N° : 8448 de M. Leonetti Jean ( Union pour un Mouvement Populaire - Alpes-Maritimes )
Ministère interrogé : Premier ministre
Ministère attributaire : Premier ministre
Question publiée au JO le : 23/10/2007 page : 6415
Rubrique : ministères et secrétariats d'État
Tête d'analyse : structures administratives
Analyse : liste. contenu
Texte de la QUESTION : Une liste des commissions et instances consultatives ou délibératives placées directement auprès du Premier ministre ou des ministères est annexée au projet de loi de finances. Ce document recense pour chaque organisme son coût de fonctionnement, le nombre de ses membres et de ses réunions. M. Jean Leonetti demande à M. le Premier ministre de lui indiquer les raisons pour lesquelles la "mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires" instituée par le décret n° 2002-1392 du 28 novembre 2002 ne figure pas sur ce document public.

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Question N°: 8449 de M. Leonetti Jean ( Union pour un Mouvement Populaire - Alpes-Maritimes )
Ministère interrogé : Premier ministre
Ministère attributaire : Premier ministre
Question publiée au JO le : 23/10/2007 page : 6415
Rubrique : ministères et secrétariats d'État
Tête d'analyse : Premier ministre : structures administratives
Analyse : personnel. crédits. statistiques

Texte de la QUESTION : Dans la loi de finances, l'action n° 1 du programme « direction de l'action du Gouvernement » porte sur la coordination du travail gouvernemental. Cette action regroupe les crédits destinés au cabinet du Premier ministre et des secrétaires d'État délégués, au secrétariat général du Gouvernement, au service d'information du Gouvernement et à plusieurs commissions rattachées aux services centraux. Figurent parmi ces commissions : le secrétariat général de la mer ; "la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires" (Miviludes) ; le secrétariat général de l'administration ainsi que trois commissions, consultatives, Dans la mesure où les documents budgétaires ne permettent pas d'identifier ces données, M. Jean Leonetti demande à M. le Premier ministre quels sont les effectifs budgétaires du secrétariat général de la mer et de la "Miviludes", le nombre de fonctionnaires placés en position de détachement, mis à disposition, et le nombre de contractuels dans ces deux structures. Il souhaiterait connaître également le montant total de leurs crédits de personnel et de fonctionnement.

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La TFP demande la dissolution de la MIVILUDES

Dans un appel à l'aide urgente de tous les amoureux de la liberté de croyance, la TFP (Tradition Famille Propriété) fait part des très nombreuses tribulations qu'elle subit de la part des services de l'Etat. Voici ce qu'elle écrit:

"Les partisans d'une laïcité conçue comme une arme contre l'influence des catholiques dans la société refusent même la libre confrontation des idées et des valeurs, violant ainsi le pluralisme, la neutralité et l'impartialité, principes de base dans une société qui se veut démocratique :

- pour eux, les principes essentiels hérités de 2000 ans de civilisation chrétienne n'ont pas le droit d'être librement proposés aux hommes d'aujourd'hui.

- contrôles fiscaux sur l'association et sur son président,

- plus un contrôle de la Cour des Comptes agissant sur ordre du Préfet de Région,

- plus une convocation devant le Tribunal de Grande Instance."

Davantage d'informations peuvent être trouvées sur le site

Par ailleurs la TFP a écrit une longue lettre argumentée à M. le Premier ministre, lettre dans laquelle elle réfute point par point toutes les critiques émises contre elle par la Miviludes (mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) dans son rapport annuel de 2006.

A l'issue d'un long argumentaire très détaillé, la TFP demande à M. le Premier ministre de procéder à la dissolution de la Miviludes, et en particulier fait la constatation suivante: "Elle [la lettre au Premier ministre] était nécessaire pour appeler votre attention sur l'incompatibilité de la Miviludes et de son fonctionnement avec les libertés auxquelles la communauté internationale est attachée."

CAP Liberté de Conscience assure la TFP de son entier soutien et demande à tous les amoureux de la Liberté de Conscience dans notre pays de tout mettre en oeuvre pour que cette liberté élémentaire soit préservée.

Texte complet de la lettre

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RG : Yves Bertrand : "Je ne sais rien mais je dirai (presque) tout"

Yves Bertrand, ancien directeur des RG de 1992 à 2003 reconnaît dans son livre "Je ne sais rien mais je dirai (presque)tout" qu'en 1996, "certains groupes se sont vus un peu vite affublés du vocable de secte" .

extraits :
"Le terme secte a été forgé à une époque où le catholicisme et le protestantisme constituaient la norme dominante et où il s'agissait, en quelque sorte, de stigmatiser les hérésies chrétiennes. Doit-il être utilisé aussi facilement aujourd'hui ? J'en doute sincèrement.
...Doit-on confondre en un même vocable, sectes et mouvements minoritaires, pratiquant le prosélytisme comme les témoins de Jéhovah ?
Franchement je ne le pense pas. On a le droit de critiquer la scientologie ou les Témoins de Jéhovah, mais faut-il pour autant les transformer en diable ? Je pense même qu'à placer sur le même plan certaines sociétés de pensée et d'authentiques mouvements sectaires qui aliènent la liberté de leur membres, on aboutit à l'inverse du but recherché. Sous prétexte de protéger la liberté de conscience, on empêche les citoyens d'embrasser les croyances de leur choix, ce qui est le contraire de la laïcité bien comprise..."

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« Sectes » et enfants : les chiffres officiels !!!!

Sous couvert de lutte contre les « sectes », les minorités de conviction sont largement discréditées dans les média et souvent leurs droits à s’exprimer en retour sont tout simplement bafoués.

Le terme de « sectes » a déjà fait ses preuves au cours de l’Histoire ; sans définition juridique et à forte connotation émotionnelle, il a permis en d’autres temps de discréditer juifs, protestants, francs-maçons, ou encore l’Armée du Salut.

Dans les campagnes actuelles d’incitation au rejet des membres de ces minorités, les chiffres les plus alarmistes sont diffusés par les protagonistes de la chasse aux « sectes ».

Ces chiffres sont bien sûr faux mais à force de répéter un mensonge certains espèrent probablement en faire une vérité !

Pour permettre à chacun de connaître la situation réelle concernant ce faux problème, nous avons rassemblé ici les déclarations des plus hautes autorités du gouvernement qui ont mené des enquêtes de terrain en ce domaine.

Lire enquête : "sectes" et enfants les chiffres officiels

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"Le portugal reconnaît la Scientologie comme une religion"

Le Portugal, de constitution laïque(*)(ndlr), vient de reconnaître la scientologie comme religion au même titre que l'Eglise catholique.

Déjà les Etats-Unis, la Suède, le Japon, l'Afrique du Sud avaient érigé la scientologie au niveau d'une religion. Le Portugal vient de les rejoindre.

Ce dont se réjouit Danièle Gounord, porte-parole des scientologistes de France où la scientologie reste considérée comme une secte. "Cela forme un contraste frappant avec les messages alarmistes et mensongers qui circulent ici sous l'impulsion de quelques farouches opposants aux religions émergentes"précise-t-elle.

La Scientologie compte actuellement quelque 500 centres, missions et églises dans 163 pays et plus de 10 millions d'adeptes.

(*)L’article 41 paragraphe 4 de la constitution de 1976 pose le principe de la séparation de l’Église et de l’État. La constitution de 1976 reprend en fait un principe qui existe au Portugal depuis 1910.

L’article 41 est ainsi formulé :
- « 1. La liberté de conscience, de religion et de culte est inviolable.
- 2. Nul ne peut être poursuivi, privé de droits ou dispensé d'obligations ou de devoirs civiques en raison de ses convictions ou de ses pratiques religieuses.
- 3. Nul ne peut être interrogé, par aucune autorité, au sujet de ses convictions ou de ses pratiques religieuses, sauf pour le recueil de données statistiques qui ne permettront pas d'identifier les personnes auprès de qui elles ont été obtenues, ni subir de préjudice pour avoir refusé de répondre.
- 4. Les Églises et les communautés religieuses sont séparées de l'État et peuvent librement s'organiser, exercer leurs fonctions et célébrer leur culte.
- 5. La liberté de l'enseignement de toute religion réalisée dans le cadre de chaque confession est garantie, ainsi que l'utilisation de ses propres moyens d'information pour l'exercice de ses activités.
- 6. Le droit à l'objection de conscience est garanti, conformément à la loi. »

source : http://www.fenetreeurope.com/php/page.php?section=actu_jour

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Mathieu Cossu mis en examen

Mathieu Cossu a été de longue date le porte-parole sur Internet des groupes de pression dits “anti-sectes” qui s’attaquent régulièrement par voie de presse aux minorités thérapeutiques, spirituelles et religieuses. La justice, longtemps bienveillante à l’égard de ces “anti-sectes” et de leurs sbires, en viendrait-elle aujourd’hui à une application plus stricte et plus rigoureuse de la loi en matière de diffamation envers les minorités de conviction ?

La condamnation récente, par la cour d’appel de Rouen, de Catherine Picard, présidente de I’UNADFI, pour diffamation envers les Témoins de Jéhovah était un signe fort pour I’UNADFI et consorts. Mathieu Cossu sera-t-il le prochain des “anti-sectes” à devoir revenir à un langage plus respectueux de la liberté de conscience ?

CAP Liberté de Conscience vous tiendra informés du déroulement de cette affaire.

Déclaration de Mathieu Cossu :

Je viens d’être mis en examen pour avoir, lors d’une interview pour le journal télévisé de TFl du 24 janvier 2007, dit ce que je pensais des envois d’une médaille “miraculeuse” de la Sainte-Vierge, accompagnés de demandes d’argent à de très nombreuses personnes, par Tradition, Famille, Propriété (TFP). Lors de cette interview, j’ai fait part de mon point de vue qui est également celui des nombreuses personnes qui m’ont contacté, disant qu’elles étaient excédées par ces demandes d’argent plusieurs fois renouvelées, demandes que j’ai moi-même reçues, adressées entre autres à des personnes âgées qui pensent, compte tenu de leur teneur, qu’il s’agit de lettres d’une communauté appartenant à l’Eglise Catholique, ce qui à ma connaissance n’est pas confirmé par l’Eglise Catholique de France.”

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L’affaire de l’IDERM

Après avoir été condamnée une première fois à 800 euros d’amende et avoir été déboutée de toutes ses demandes, la section nordiste de l’Institut d’études et de recherches maçonniques (IDERM), qui dépend du Grand Orient de France, vient d’être à nouveau condamnée par le tribunal de Lille pour avoir radié abusivement l’un de ses membres de son conseil d’administration, Thierry Bécourt, qui est par ailleurs président de la "Coordination des associations et particuliers pour la liberté de conscience". Favorable aux NMR (Nouveaux mouvements religieux), souvent abusivement qualifiés de sectes, il avait signé La Nouvelle chasse aux sorcières et avait intenté une action en dissolution d’une des principales associations « anti-sectes », l’Association de défense des familles et des individus (ADFI). Il avait alors été exclu pour des « prises de position publiques incompatibles avec l’éthique maçonnique », un motif spécieux pour le tribunal.

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Commentaires et correctifs à l’enquête sur les vaccinations

La publication de l’enquête a suscité diverses réactions, positives ou négatives comme on pouvait s’y attendre. Merci à tous de leurs commentaires. Les positifs parce qu’ils nous encouragent, les négatifs parce qu’ils vont nous permettre soit de préciser notre pensée, soit de rectifier erreurs ou lacunes.

Cette nouvelle forme de journalisme a ceci de particulier et de très intéressant à notre sens, c’est que chacun peut avoir une vue globale de la question (opinions enquête réactions) et entendre les arguments des uns et des autres dans le même média : c’est là une grande originalité et la grande force de cette démarche. Ajoutons que les acteurs concernés (institutions ou autres) peuvent à tout moment apporter des compléments ou des rectifications à l’enquête.

Avant de répondre point par point à certains “posts” significatifs, nous insistons sur l’angle de l’enquête qui répond à la question : « L’obligation vaccinale est-elle encore justifiée ? » [1]. Notre réponse est négative. En aucun cas, cela ne signifie une négation de l’intérêt de la vaccination. Notre article signale simplement que l’obligation vaccinale ne fait pas l’unanimité, qu’elle est contestée ou reconnue aujourd’hui moins utile, que les conditions sont peut-être réunies pour qu’elle puisse être levée. Dans ce contexte, la sévérisation des sanctions paraît aller à contresens. Plutôt que lever le bâton pour effrayer le réfractaire, nous pensons qu’il serait plus judicieux de susciter l’adhésion par l’explication et l’information, donc par le débat contradictoire. Bref, par la confiance.


Lire la suite : http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=29896

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