Coordination des Associations & Particuliers pour la Liberté de Conscience
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CAP pour la Liberté de Conscience - Liberté de Religion - Liberté de Conviction
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ACTUALITÉS SUR LE GRILL
 


Sommaire des actualités

octobre 2011

Une obédience peut en cacher une autre

Sans doute dopée par les déboires de la GLNF, sa rivale récemment répudiée par la GLUA (Vatican maçonnique) et à laquelle elle reprochait un recrutement agressif, la discrète Grande Loge de France, 3ème obédience française par le nombre d’adhérents, est sortie de l’ombre en organisant son premier « Grand diner » le 17 septembre dernier, sur le modèle de celui du CRIF.

L’invité d’honneur, Bernard Attali, a planché sur le thème de « La liberté individuelle, liberté illusoire » devant 200 convives, dont d’illustres acteurs de la République : le Président du Conseil économique, social et environnemental, un ancien Premier Ministre, le Président de la Fédération protestante de France (FPF), le président du Conseil français du Culte musulman (CFCM), le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), des conseillers du Président de la République et du Premier Ministre, des adjoint(es) au Maire de Paris, des représentants de la télévision et des instituts de sondage, etc. Le Ministre de l’Intérieur et des cultes ainsi que le Président du Sénat avaient envoyé chacun un message de sympathie, preuve que l’influence de la Maçonnerie dans la République, fut-ce au niveau de la « 3è obédience », n’est pas illusoire.

Les supporters de la liberté de conscience doivent-ils se réjouir de ces changements de rapports de force ? Pas si sûr. En effet, il n’y a guère, la respectable GLF annonçait qu’elle avait obtenu de se faire représenter par trois Conseillers Fédéraux (sic) à la MIVILUDES et de participer ainsi « à ses travaux », y rejoignant « les principales obédiences » (selon ses dires), pour « assumer son devoir de vigilance ».

Comment Georges Fenech, « M. Tolérance zéro », a-t-il pu laisser infiltrer la respectable Miviludes à ce point ? Nous rappelons que dans le sigle « MI.VI.LU.DE.S », il y a VI-gilance !

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Les Médecines complémentaires
entrent dans les hôpitaux de Paris

L’Assistance publique - hôpitaux de Paris (AP-HP) a engagé une réflexion autour du développement des médecines complémentaires. Le 16 septembre dernier se tenait à la Pitié-Salpêtrière la 2ème journée d’études sur la médecine chinoise en milieu hospitalo-universitaire, à l’initiative de l’Assistance publique – hôpitaux de Paris. « Nous constatons que les patients ont de plus en plus recours à des traitements dits complémentaires, souvent à l’extérieur de l’hôpital et en dehors des voies de médecine classiques » a indiqué le Dr Viens-Bitker, en charge des Réseaux de santé, Médecines complémentaires. Ces personnes, atteintes le plus souvent de maladies chroniques, cherchent selon les cas, à atténuer les effets secondaires des traitements qui leurs sont administrés, prévenir les complications de la maladie, mais aussi l’anxiété ou la dépression qui l’accompagne ou soulager des symptômes physiques mal contrôlés.

Face à ce constat, l’AP-HP a décidé d’inscrire dans son Plan stratégique 2010-2014 un projet de développement des « médecines complémentaires ». L’objectif est de réaliser un état des lieux de l’offre existante à la fois en matière de soins et d’enseignement et développer une activité de recherche. Certaines thérapies (acupuncture, auriculothérapie, hypnose, homéopathie, ostéopathie) sont déjà présentes ans les services de ces hôpitaux. Côté recherche, le département de la recherche clinique et du développement de l’AP-HP a prévu d’ouvrir en 2012 un axe « médecine chinoise et médecines complémentaires » dans son prochain appel à projets interne. Actuellement, 11 projets sont en cours sur les médecines complémentaires et les médecines traditionnelles chinoises.

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Vomir ou tressaillir, il faut choisir

Dans un communiqué du 14 octobre 2011, l’AFFSAPS déconseille l’usage du Primpéran chez les moins de 18 ans, un médicament « bien connu » contre les nausées, les migraines et les vomissements, réagissant ainsi après des conclusions similaires publiées au niveau européen en novembre 2010. En revanche, ce qui était moins connu ou carrément caché, c’est qu’il s’agissait en fait d’un neuroleptique qui provoquait des troubles neurologiques tels que des mouvements anormaux de la tête et du cou, des spasmes du visage, des contractions de la mâchoire, des mouvements anormaux des yeux ou révulsion, une difficulté pour avaler ou pour parler ou encore le torticolis, en bref tous les tics et effets secondaires exécrables des neuroleptiques « ancienne génération » (recyclage opportun ?). Ces effets, parfois surnommés « effets secondaires extrapyramidaux », qui ont été constatés chez 27 % des patients – y compris chez l’enfant - au bout de 30 jours, constituent des symptômes qui rendent rapidement toute vie sociale impossible au patient « traité ». Ce produit tendant également à stimuler la croissance du cancer du sein, ces contre-indications sont les bienvenues pendant le « mois rose ».

Quant au Primpéran « spécial nourrisson » et « spécial enfant », « à l’efficacité thérapeutique peu établie » selon l’AFFAPS (mais bénéficiant tout de même d’une AMM !), ils sont purement retirés du marché. Privés de sirop !

Le principe actif, le métoclopramide (ou AMINO-4 CHLORO-5 N-(DIETHYLAMINO-2 ETHYL) METHOXY-2 BENZAMIDE), est entre autres utilisé contre les effets secondaires de la chimiothérapie, et divers effets secondaires d’autres thérapies. Le cercle vicieux des effets secondaires !

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Les médecins perplexes face aux médicaments

Un sondage de l’Express/Compugroup Medical, réalisé du 15 au 25 septembre 2011 auprès de 330 médecins généralistes et spécialistes libéraux, révèle une fissure dans la confiance que ceux-ci placent dans les médicaments. En effet aujourd’hui, diabète, ostéoporose, circulation sanguine, antidépresseurs, vaccins avec adjuvants, la liste est longue des médicaments « à manier avec précaution », voire en instance de retrait. Selon ce sondage, 76% pensent que d’autres laboratoires que Servier ont pu cacher des données essentielles sur les effets secondaires de leurs produits. 28% se disent « pas très ou pas du tout » sereins au moment de rédiger l’ordonnance, et plus d’un sur quatre admet avoir la main qui tremble, désormais, au moment de rédiger son ordonnance (n’est-ce pas un début de Parkinson ?). Face à certains nouveaux traitements sans grand recul, certains disent se rabattre sur « les bonnes vieilles molécules », ce qui n’est pas très rassurant (critère pifomètre). Encore moins rassurant, le fait que beaucoup citent l’affaire du Mediator comme détonateur d’une prise de conscience, soit la presse à sensation !

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Les malades d’Alzheimer sont-ils les victimes des psychotropes légaux ?

Une nouvelle étude (la dixième !!!) vient conforter ceux qui pensent que la maladie d’Alzheimer n’est pas une maladie « naturelle », mais une maladie provoquée par la pollution, la médecine d’école et les adjuvants de vaccins, qui sont utilisés de façon croissante sur les populations âgées. En effet, selon une étude à paraître dans Sciences et Avenir, menée par le Pr Bernard Bégaud, pharmaco-épidémiologiste (Inserm/université de Bordeaux), chaque année, en France, 16.000 à 31.000 cas d’Alzheimer seraient ainsi attribuables aux traitements par benzodiazépines (BZD) ou apparentés, et leurs génériques: Valium, Témesta, Xanax, Lexomil, Stilnox, Mogadon, Tranxène, etc. Neuf autres études (sic) ont déjà démontré ce phénomène sans susciter de frémissement chez nos « hautes autorités suprêmes de santé ». Il s’agit essentiellement de benzodiazépines (somnifères/anxiolytiques), dont la France consomme de 5 à 10 fois plus de « boîtes » que ses voisins.

Comme le remarque candidement le chercheur, « Contrairement aux chutes et fractures occasionnés par ces traitements, les effets cérébraux [des benzodiazépines] ne sont pas immédiatement perceptibles, mais il faut attendre quelques années». Donc, dans l’ordre, fractures, puis Alzheimer. C’est le prix à payer pour être « plus calme », ou « moins anxieux », ou du moins pour rassurer son entourage (en-dessous de 10 médicaments quotidiens, une ordonnance n’est vraiment « pas sérieuse », et sans anxiolytique, c’est de la cruauté pure et simple).

Le Pr Bernard Bégaud estime lui-même que «cette affaire est une vraie bombe». Mais tout cela est déjà connu et commenté, le plus étonnant est que ce grand spécialiste n’était « pas au courant », trop occupé pour lire la presse féminine ; s’il lisait davantage celle-ci, sa carrière ferait un grand bond en avant.

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Sylvie Simon révélationSylvie Simon : Révélation

Sylvie Simon, auteur de 34 ouvrages, est également journaliste.

Elle a écrit depuis vingt ans des centaines d’articles sur des sujets brûlants liés à la santé publique qui font scandale et dépeignent les incohérences de notre société capitaliste basée sur le profit : Sang contaminé, vaches folles, amiante, hormones de croissance, vaccins... Elle pointe du doigt la désinformation latente qui souligne les choix politiques néfastes lié à la santé.

Ce film a pour vocation de relater son combat. Les entretiens que nous avons eus lui ont donné l’occasion d’aborder des thèmes qui lui tiennent à cœur : Les doutes qu’elle porte sur le principe de vaccination, l’espérance de vie dans nos sociétés occidentales modernes. Elle nous informe également sur l’activité controversée de plusieurs médecins marginaux et en profite pour dénoncer les méfaits de la médecine de consommation, basée sur le profit des puissants laboratoires pharmaceutiques capables de commercialiser ces médicaments susceptibles parfois de tuer celui qui cherche seulement à guérir.

C’est un honneur de rendre hommage au parcours de cette femme remarquable, courageuse, dont la ténacité légendaire n’est plus à démontrer. Sylvie ne mâche pas ses mots, va droit au but, elle dérange parfois et pourtant son objectif est uniquement de lever le voile sur des vérités pas si bonnes à dire.

Pour commander le film

http://www.filmsdocumentaires.com/films/1060-sylvie-simon/dvd

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