Dans
la lutte contre le fanatisme islamiste, voici enfin une initiative de bon sens.
Le mérite en revient aux géants de l'internet Google, Facebook
et Twitter. Le projet consiste à mettre en place un contre-discours à
la propagande des terroristes. En effet, il devenait évident pour tout
le monde que les moyens militaires conventionnels étaient incapables
de faire la guerre aux idées. Contre des actes barbares commis suite
à des paroles fanatiques et haineuses, seuls d'autres mots dictés
par la raison et le coeur ont le pouvoir d'endiguer ce flot de violence.
Ainsi
donc, après les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, Google, Facebook et
Twitter tentent ensemble de promouvoir en France et sur internet un "contre-discours"
en réponse à la propagande djihadiste, avec la participation du
gouvernement et d'associations. L'objectif de cette alliance inédite
des trois grands concurrents du web est de contrer la déferlante de vidéos
de propagande qui, en jouant sur des mythes de justice et d'héroïsme,
cherchent à embrigader des jeunes gens pour les convaincre de partir
en Syrie ou en Irak. "Nous luttons contre les appels à la haine
et la violence : nous avons retiré de YouTube 14 millions de vidéos
l'an dernier", a expliqué Benoît Tabaka, directeur des politiques
publiques de Google France. "Mais ce n'est pas suffisant: pour les combattre,
il faut diffuser un contenu positif".
Pourquoi
des jeunes de tous les horizons ont-ils ressenti ce besoin impérieux
et dingue vers l'action violente? La réponse n'est pas évidente.
Certains sans doute l'ont fait par besoin d'actions violentes. Mais d'autres
l'ont aussi fait pour donner un sens à leur vie, par besoin de transcendance,
parce qu'ils ne voulaient plus de notre société matérialiste
et égoïste. Avec ceux-là, nous les minorités de conviction
nous avons les mots pour discuter parce que nous sommes animés par les
mêmes idéaux de justice et de fraternité, seules les circonstances
de la vie les ont fait basculer du mauvais côté.
A
nous de trouver les mots justes pour expliquer que l'amour et la connaissance
sont la seule clé qui donne accès au paradis.
"Le
Secrétariat d'Etat à la formation, à la recherche et à
l'innovation (SEFRI) a approuvé fin avril un examen professionnel supérieur
donnant droit à un diplôme fédéral pour les naturopathes."
Une
fois de plus la Suisse est à l'avant-garde et nous montre la bonne voie
à suivre. Reste à faire pareil.
A vos chronomètres tous pour mesurer le temps que la France va mettre
pour officialiser enfin la naturopathie.
Rapport
2015 de la Miviludes: CAP Liberté de Conscience communique
L'association
CAP LC (Coordination des Associations et Particuliers pour la Liberté
de Conscience) a pris connaissance du rapport 2015 de la Miviludes et y a comptabilisé
deux cent dix sept occurences de l'expression "dérives sectaires".
Par contre, nulle part, elle n'y a trouvé une définition de cette
même expression "dérives sectaires". CAP Liberté
de Conscience estime cette non-définition comme extrêmement choquante,
d'autant plus que la mission de la Miviludes est justement la vigilance et la
lutte contre les dites dérives sectaires. Depuis sa création en
2002, la Miviludes avait l'obligation et tout loisir d'élaborer et de
fournir une telle définition.
En
conclusion, selon CAP Liberté de Conscience, les conclusions suivantes
s'imposent:
La
non-définition de l'expression "dérives sectaires"est
très certainement intentionnelle. Elle procèderait d'une stratégie
délibérée pour interdire toute discussion apaisée
quant au droit des minorités de conviction à exister.
Elle
est une insulte à la rationalité cartésienne dont la France
se déclare un défenseur.Elle est un déni au droit
fondamental et universellement reconnu pour toute personne de disposer de textes
officiels simples et clairs, sans possibilité aucune d'interprétation
arbitraire.
Elle
enlève toute valeur et pertinence au rapport en question, de même
qu'à tous les rapports précédents, et plus généralement
à tout document émanent de la Miviludes.
Finalement,
elle jette une ombre suspicieuse sur le bien-fondé même de la Miviludes.