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ACTUALITÉS SUR LE GRILL 2012 CAP Liberté de Conscience |
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mars 2013 Polémique au Sénat Le porte-parole de l'Eglise de scientologie a expressément demandé, en vain, que son audition par la commission d'enquête sénatoriale soit ouverte au public et à la presse comme la loi le prévoit ; c'est la pratique courante. Huis clos au Sénat - Spectacle public au Lutétia C'est dans ces conditions que le responsable de l'Eglise de scientologie a écrit le 18 mars 2013 à Alain Milon (UMP), sénateur du Vaucluse et président de la commission d'enquête "sur l'influence des mouvements à caractère sectaire dans le domaine de la santé" :" Comme l'Eglise souhaite aborder les thèmes qui sont évoqués par votre commission dans la lumière, et que les modalités de mon audition, par votre choix, excluent la presse et imposent l'obscurité", le responsable lui indique qu'il viendra au Sénat le 20 mars 2013 à 16h30 "témoigner sous serment" pour "éclairer" la commission et "corriger de nombreux préjugés" sur la scientologie. Pour "permettre le débat citoyen, la vie démocratique et garantir le droit à l'information", l'Eglise de scientologie organise "une audition publique" le 20 mars 2013 à 13h à l'Hôtel Lutétia dans le VIe arrondissement de Paris. L'Eglise de scientologie pousse les sénateurs dans leurs retranchement à "poser toutes les questions pertinentes" en précisant que les débats seront filmés et diffusés. La presse et le public sont conviés. Les sénateurs auront-ils assez d'audace pour venir au Lutétia ? En tout cas, l'Eglise de scientologie a réussi a mettre les rieurs de son côté. Source : -------------------------------------- -------------------------------------- Pas de « dérives sectaires » dans le domaine de la santé !Des personnes auditionnées par la commission denquête sénatoriale 2012/2013 ont confirmé ce que lon avait appris en 2006 : (vidéo de 2006) il nexiste pas de véritables dérives sectaires en France ! Les personnes les plus alarmistes devant la commission denquête ont été les représentants de lUnadfi, de la Miviludes et du CCMM. Ces organismes ne doivent leur existence quà un financement public exclusif, ou presque, plus de 10 millions deuros de 2001 à 2011, voir chapitre Des subventions pour accuser (page 37) du document La Liberté de Conscience en France : un état des lieux troublants . La reconnaissance par lUnadfi, la Miviludes et le CCMM quil ny a pas ou peu de « dérives sectaires » serait interprété comme « ne nous versez plus de subventions ».
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