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CAP Liberté de Conscience - Liberté de religion - Liberté thérapeutique

Unadfi et Ccmm financement public

Par Christian Coeur
novembre 2011

 

 

En octobre dernier, l’association CAP Liberté de Conscience a publié une nouvelle brochure sur le financement public de l’Unadfi : Les fonds publics sont-ils utilisés dans l'intérêt général ?(1)

En effet, l’Unadfi bénéficie d’un statut particulier qui lui permet d’être financée à plus de 80 % par des fonds publics. Cet état de fait, loin d’être inconnu des pouvoirs publics, est cautionné et connu d’eux.

Dans un document, rédigé par les services du Premier ministre, on peut lire : « Le financement public représente donc 84 % du montant des ressources de l’association ». (voir extrait du document ci-dessous)

 

Dans le même document une autre association « antisecte », le Ccmm, est nommée et nous apprenons ainsi que : « Le financement public représente donc 74 % du montant des ressources de l’association ».

C’est ainsi que 100 % des associations « antisectes » sont financées par les fonds du Premier ministre ou les administrations publiques. De la même façon, dans le Conseil d’orientation de la Miviludes (qui dépend du Premier Ministre) se trouvent la présidente de l’Unadfi, Mme Picard et la présidente du Ccmm, Annie Guibert.(2)

L’Unadfi et le Ccmm sont ainsi deux pseudo-administrations chargées de s’en prendre aux cultes, aux religions, aux thérapies et à tout ce qu’elles considèrent comme déviant des normes.

M. Fenech, actuel président de la Miviludes, écrivait dans son rapport La justice face aux dérives sectaires : « Toute dérive sectaire est une déviance des croyances classiques reconnues. ».

Etonnante déclaration de la part d’un représentant du Premier ministre, alors que la loi de 1905 spécifie dans son article 2. - La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte.

(1) http://www.coordiap.com/press2976-unadfi-caplc-2011.htm

(2) http://www.miviludes.gouv.fr/Le-Conseil-d-orientation-CO

(3) document du Premier ministre


 

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