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LC 2008
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Liberté de Conscience - Liberté de religion - Liberté
thérapeutique Vers un « Grenelle » de la vaccination ? Par Gilles Carat décembre 2009 |
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Un récent sondage révélait quune majorité du personnel médical français ne se ferait pas vacciner contre la grippe A, situation inimaginable il ny a guère. Selon un autre sondage réalisé début novembre pour Santé Magazine, seuls 19,3% des Français avaient l'intention de se faire vacciner contre la grippe A H1N1. De même, le Syndicat National des Infirmiers (SNPI) CFE-CGC déclarait le 21 septembre 2009 : "Une vaccination massive contre un virus grippal relativement bénin présente des risques, du fait d'un vaccin développé trop rapidement, et d'un adjuvant susceptible de déclencher des maladies auto-immunes (...) ; le remède risque d'être pire que le mal". Début décembre, la Direction de la santé annonçait triomphalement un revirement de lopinion en faveur de la vaccination, visible selon elle dans le fait quon avait déjà vacciné 1% de la population ! Il y a quelques années, Christine Boutin en personne a émis publiquement des réserves en pleine Assemblée Nationale quand à la pertinence de certaines vaccinations. Lobligation vaccinale quant à lemblématique BCG a même été levée en France, patrie de Pasteur, en 2006. Alors que les tabous tombent sur ce sujet éminemment « identitaire » - et donc fortement idéologique - pour la France, il serait temps de lancer un vrai débat contradictoire ainsi que des études indépendantes sur les effets, avantages et inconvénients des vaccins, en sortant des anathèmes et des argumentations parcellaires. En effet, nous avons droit actuellement à un véritable dialogue de sourds (avec des partisans qui signorent). Examinons donc brièvement, comme le ferait un journaliste généraliste non médecin, les éléments qui plaident pour un véritable droit dinventaire sur plus dun siècle de théories et pratiques vaccinales, et dégageons les zones controversées qui devraient faire lobjet détudes exhaustives et indépendantes. Dun
côté, une vaccination de masse soutenue par une valse des
chiffres : Concernant la grippe A proprement dite qui occupe lactualité, il faut rappeler que 5000 personnes meurent en France chaque année de la grippe « saisonnière », contre tout juste une centaine début décembre (outre-mer compris) pour la grippe A. Nous découvrons également que le seuil épidémique est ici fixé à 164 cas pour 100 000 individus (admirons la précision), ailleurs cest 108 cas pour 100 000 (tout aussi précis), soit 1 individu pour 6000. Certes, la présence de nouvelles souches contre lesquelles les populations sont peu ou pas immunisées fait aussi partie de cette définition. Lorsque lon cherche à obtenir des chiffres, on observe de larges variations dun institut à lautre. Côté nécessité de la vaccination, on fait surtout valoir le côté dangereux et inévitable dun nouveau fléau surnommé grippe A, plus que les avantages précis du vaccin lui-même. Dans la mesure où la grippe A sest répandue au printemps, saison peu propice aux grippes, on avance lhypothèse hasardeuse que cette épidémie serait beaucoup plus dangereuse durant la saison automne/hiver. Dautre part, alors que les grippes habituelles tuent essentiellement les personnes vulnérables (90% de cas mortels concernent des sujets de plus de 60 ans), ainsi que des personnes déjà atteintes daffection chroniques, ou des nourrissons, la grippe A, tout comme la grippe espagnole en son temps, touche également des sujets jeunes et supposés en bonne santé. On pourrait rétorquer que dans le cas de la récente grippe aviaire si menaçante, aucun cas na été recensé dans les pays industrialisés. LOMS avait alors émis lhypothèse dune pandémie gigantesque mais le virus H5N1 sest avéré moins transmissible que prévu. Les campagnes officielles sont beaucoup plus prolixes sur les statistiques de lépidémie (peu impressionnantes) que sur les avantages et inconvénients précis de la vaccination, où lon ressasse bien souvent le credo de lécole primaire. Or, depuis une dizaine dannées, un nombre croissant dacteurs de santé brise le tabou et les certitudes et fait apparaître les risques et effets secondaires des vaccinations sur les enfants et les personnes âgées, demandant des études sérieuses sur ce sujet. La réalité et lhonnêteté même des expériences de Pasteur a récemment été mise en cause lorsque les archives ont été explorées à loccasion du centenaire de sa mort. Comme pour le vaste sujet de société quest lenvironnement, il serait souhaitable de remettre tout le sujet à plat et dorganiser un véritable « Grenelle de la vaccination » pour confronter les points de vue, et confier à des organismes indépendants (pas facile) le soin de défricher le terrain. Voici donc un petit résumé non exhaustif des points soulevés qui devraient faire lobjet détudes indépendantes, hors lobbies. Les
questions auxquelles devraient Est-ce quon ne privilégie pas la « défense contre les microbes », au détriment dune compréhension et du renforcement du système immunitaire ? Limmunologie
classique considère laction globale dun système
capable ou pas de résister aux maladies, la maladie étant
la résultante dun ensemble de dysfonctionnements du système
immunitaire. Citons le Pr Jean DAUSSET, Prix Nobel de Médecine
en 1980 qui, avec ses travaux sur les lymphocytes propres à chaque
individu, confirme l'unicité de l'identité biologique
et prévoit que : "La vaccination des enfants contre toute
une série de maladies pourrait être bientôt une pratique
du passé." Le Dr Cirenéi (1963) étudie la
nature endogène des microbes, en accord avec les théories
de Béchamp étouffées en leur temps par Pasteur.
Cette thèse est confortée par de grands scientifiques
comme le Pr Jean Bernard ou Joel de Rosnay qui, bien quappartenant
à lInstitut Pasteur, affirmait que "grâce aux
microbes reprogrammés, il ne serait plus nécessaire d'infester
l'organisme avec des microbes tués ou affaiblis." Cétait
avant le rachat de Pasteur par Mérieux, puis par Sanofi. Certains font valoir que, en réduisant laffaire de linfection à un problème de vaccination ou pas, on déresponsabilise lindividu face à la nécessité de maintenir son système immunitaire en bon état. En fait, toutes les pratiques visant à renforcer limmunité sont systématiquement occultées dans les campagnes officielles : cest le black out total. Hygiène, oui parfois, immunité, non. Le facteur psychologique déclenchant (peur dattraper la maladie, dépression, stress) est également systématiquement évacué. Cette peur est souvent renforcée ou créée de toutes pièces par les campagnes officielles. En promouvant la solution marchande comme remède quasi unique (production de vaccins), on en vient finalement à une non compréhension du phénomène de la maladie dans son ensemble. Le
vaccin modifie-t-il le système immunitaire et On connaît le raisonnement sur les antibiotiques : ceux-ci auraient un rôle mutagène, et favoriseraient la création de souches plus résistantes, en opérant une sorte de sélection des souches existantes et une mutation de celles-ci. Si lon prend lexemple du Gardasil, vaccin contre le cancer du col de lutérus, les docteurs Carlos Alvarez-Dardet et de Juan Gervas mettent en garde : «administré alors quil nétait pas nécessaire (puisque les défenses immunitaires suffisaient dans la plupart des cas), ce vaccin a abouti à lapparition de souches résistantes aux traitements. Ainsi, lintervention humaine dans un domaine où le système immunitaire était largement compétent auparavant a créé un problème de santé publique là où il ny en avait pas » Les vaccins favorisent-ils lapparition dautres maladies ? Au-delà du problème de la favorisation de « nouvelles souches » dun certain virus, tout vaccin quel qu'il soit amoindrit les défenses immunitaires en perturbant le rapport entre les différents types de lymphocytes, ce qui rend le sujet plus vulnérable aux infections opportunistes qui profitent de la brèche ouverte. Le vaccin immobilise également une partie des « forces défensives » en les spécialisant contre un « seul ennemi », excellente tactique de leurre quun stratège voulant semparer de la place forte utiliserait pour affaiblir les forces défensives. Ainsi ledit « vaccin » contre le cancer du col de lutérus, et parfois même le vaccin de la grippe favorisent-ils lapparition dautres maladies opportunistes (profitant de laffaiblissement immunitaire dû au vaccin). Ainsi, en 1981, des études à Vienne ont démontré que le vaccin anti-tétanos provoquait un état de « pré-sida » chez les patients vaccinés, du 3è au 14è jour après la vaccination, propice à toutes les infections. De plus, en « sur-stimulant » le système immunitaire par des adjuvants inertes (aluminium, mercure, etc.) et en lépuisant, certains vaccins ouvrent un boulevard aux autres infections. Les vaccins contiennent-ils des éléments génétiquement perturbant ? Pour illustrer laspect « pollution génétique » des vaccins à léchelon mondial, plusieurs chercheurs ont établi la corrélation entre la carte de la vaccination antivariolique en Afrique et les pays à grand taux de contamination du Sida. La cause pourrait être linfection de vaccins par des virus. En effet, selon le docteur Louis de Brouwer, consultant auprès de lONU, le virus de la vaccine (introduit via le vaccin anti-variolique) contient tout le capital génétique du VIH et peut donc provoquer la reconstitution de celui-ci dans lorganisme du vacciné, hypothèse que le Pr Gallo lui-même nécartait pas dans une interview au Times le 11 mai 1987. Le professeur Albert Sweitzer, prix Nobel en 1952, avait constaté quant à lui que les premiers cancers en Afrique étaient apparus cinq années après les premières campagnes vaccinales. De même, on apprit que plusieurs centaines de milliers de soldats américains avaient été contaminés pendant la Seconde Guerre mondiale par le virus de lHépatite B (alors inconnu) contenu dans le virus de la fièvre jaune. Si lon examine la constitution chimique et biologique des vaccins, les virus sont cultivés bien souvent dans des bouillons contenant des cellules animales, voire sur des cellules tumorales de reins de chiens, ce qui favoriserait une interpénétration homme/animal et lémergence de virus polyvalents, ainsi que linjection dans le sang de matériaux biologiques animaux. En effet, pour pouvoir conserver les virus, on les fait parfois survivre dans des cellules rendues immortelles par un procédé de « cancérisation » artificielle, cellules nourries avec du sérum de veau (lui-même porteur potentiel de prions responsables de la vache folle) et le vaccin (pur à 95% seulement) peut donc parfois contenir du matériau génétique cancérigène. Le rapport 747 de 1986 de l'OMS, signalait qu'on pouvait retrouver dans le produit final du vaccin contre lHépatite B des protéines capables de cancériser d'autres cellules, et surtout de l'ADN provenant de cellules de culture, contenant notamment des fragments du génome de deux virus, le SV 40, virus de singe et le MMTV, virus de la tumeur mammaire de la souris. Les
leçons de lhistoire plaident-elles réellement Un certain nombre de grands fléaux du passé comme la peste ou la lèpre ont disparu du moins les grandes épidémies - par le simple progrès de lhygiène et des précautions alimentaires. D'une manière générale, le recul des maladies a toujours commencé bien avant l'introduction des vaccins. Les pays où renaissent les grandes maladies du passé (diphtérie, poliomyélite), sont par contre souvent ceux qui ont une très bonne couverture vaccinale (exemple : pays de lEst). Mutations ? Pollution génétique ? « Résurrection artificielle » de souches disparues ? Lhygiène semble dans tous les cas notamment dans le cas de la grippe A - un facteur décisif, sinon LE facteur décisif de régression de la maladie. Cest ce que constatait lOMS après un échec relatif de campagnes de vaccination antivarioliques à grande échelle, comme par exemple aux Philippines où une campagne de vaccination dans les années 1920 avait fait monter le taux de contamination de 10% à 54% (contre 11% chez ceux qui avaient refusé de se faire vacciner). Dans un communiqué officiel du 28 novembre 1972, lOMS déclarait : « La première [observation] était que même dans la population vaccinée à 90%, on pouvait assister à des flambées épidémiques. La seconde était quavec ce type dapproche [lhygiène], on pouvait faire complètement échec à la transmission, même lorsque lincidence variolique était élevée et les taux dimmunisation très faibles. » A linverse, alors quil ny avait plus aucun cas de variole déclaré dans le monde, la vaccination contre ce virus perdura en France jusquen 1982, et lon estime que 200 à 400 cas dencéphalites, parfois mortelles, étaient provoquées chaque année par ce vaccin. Pendant la seconde guerre mondiale, la fréquence du tétanos était 7 fois plus grande dans larmée française (vaccinée) que dans larmée grecque (non vaccinée). La France et le Portugal détiennent le record de cas de tétanos ; or, dans ces deux pays, la vaccination anti-tétanique est obligatoire. De même, la récente guerre du Golfe a montré une flambée de graves maladies auto-immunes chez les soldats revenant du front mais aussi chez ceux qui étaient restés chez eux (car ayant subi les mêmes vaccinations) ! En accusation, le squalène, adjuvant de vaccins. On masqua cette déroute en faisant subir à ces soldats à lorganisme gravement atteint de pseudo-traitements psychiatriques dégradants et souvent débilitant. Linstitution, voire le « monument national » du BCG étant un échec patent (davantage deffets secondaires et de maladies graves induites que de patients « sauvés » de la tuberculose, réapparition de la tuberculose dans les pays vaccinés), son caractère obligatoire a été supprimé. Quant
aux animaux, en 1980, une campagne de vaccination des lapins contre
la myxomatose dans les élevages bretons décima littéralement
des dizaines délevages. La
technique de vaccination nest-elle pas Les
centenaire de la mort de Pasteur (1995) a été loccasion
pour les chercheurs dexhumer nombre darchives inédites,
et de constater que la création même de cette théorie
a été entachée dune certaine malhonnêteté
quand aux expérimentations, en France du moins. De même, le Pr Delbet avait rédigé en 1942 un rapport dexpériences concluant que le Chlorure de Magnésium pouvait guérir la diphtérie, mais il se heurta à une forte opposition de lAcadémie de Médecine qui interdit la publication du rapport, selon des arguments frappants : « en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et lintérêt est de généraliser ces vaccinations. » La théorie vaccinale, née à la fin du XIXè siècle, à un moment où limmunité était peu ou pas connue, est-elle toujours valable ? Est-elle une simple survivance anachronique comme semblent le penser de nombreux scientifiques ? Et la « médecine » préventive chasse-t-elle vraiment les maladies ? Les
campagnes de sensibilisation aux épidémies On sait que la peur et le stress sont des facteurs propices à lapparition de la maladie. Comme laffirmait Jung, « il nexiste aucune protection contre les épidémies psychiques ». La campagne internationale sur « les dangers à venir du fléau grippe A », sur « larrivée imminente de lépidémie », etc. semblait vouloir provoquer une véritable psychose peu en rapport avec les faits, elle-même propre à précipiter la maladie. Heureusement, il semble que lespèce humaine soit en train dapprivoiser le virus de la panique provoquée, grâce à une meilleure éducation politique et à une certaine liberté de linformation favorisée par Internet, et ce virus dun type spécial a de plus en plus de mal à affecter le corps social. Maîtrisons-nous bien les conflits dintérêts dans de telles problématiques ? Quand Sanofi vend des doses de vaccins, il sagit de Sanofi-Pasteur (caution scientifique). Quand une salariée de Sanofi Pasteur déclare que la vaccination de masse savère obligatoire, cest au nom de « lInstitut Pasteur » seulement (pas de commerce ici). Un grand spécialiste Français recommande de passer au niveau dalerte maximum ? Si lon recherche les textes contenant à la fois son nom + « Aventis » sur Google, on trouve 20 000 extraits ! (GFort heureusement, le ministère de la Santé na pas tenu compte de cette recommandation dans ce cas-là). Certains
scientifiques encadrant le Ministère de la santé Une solution serait dinclure systématiquement des représentants des utilisateurs dans les comités consultatifs du gouvernement et dappliquer la loi du 04 mars 2002 sur la démocratie sanitaire (décret du 27 mars 2007), qui exige en effet que, lors de communications écrites ou orales, les professionnels de santé et les membres des agences sanitaires et gouvernementales déclarent leurs liens avec des entreprises et établissements produisant ou exploitant des produits de santé, ou avec des organismes de conseil intervenant sur ces produits. Que Choisir et la Formindep ont dailleurs obtenu en mai 2009 une victoire juridique contre neuf autorités médicales françaises, qui ont dû sengager à signaler leurs liens avec les labos dans toutes leurs « communications » à caractère public. La
piste des laboratoires : et si le virus H1N1 Quand à la propagation des virus proprement dits, de plus en plus de voix scientifiques émettent des doutes sur leur apparition « naturelle ». En effet, des efforts considérables ont été nécessaires pour percer la complexité du virus A (H1N1). La revue spécialisée Science a publié par exemple un travail très intéressant sur le séquençage de génomes issus de 50 souches virales de la grippe A isolées au Mexique et aux Etats-Unis. Selon ces résultats, le virus présenterait un tableau génétique bien particulier : « nous avons découvert 8 fragments de gènes différents avec une combinaison qui navait jamais encore été rapportée » explique le Dr Rebecca Garten de la Johns Hopkins University à Baltimore aux Etats-Unis, le principal auteur de cette étude. « Certains de ces gènes proviennent de virus grippaux qui circulaient chez les porcs en 1918 et dautres en 1998 ». Cest dire le nombre de mutations (naturelles ou provoquées) qui se sont succédé avant la naissance du nouveau virus A (H1N1) ! Différents
laboratoires, y compris militaires, travaillent sur des virus et combinaisons
de virus aux fins de compréhension de leurs mécanismes,
à des fins « défensives » bien entendu. La propagation malveillante : exemple lanthrax après les incidents de sept 2001. La propagation accidentelle : un virus séchappe dun laboratoire. La propagation nocosomiale : on vaccine la population avec un virus infecté. Il existerait des précédents comme dans le cas de lhépatite B. En particulier, des laboratoires militaires américains ont annoncé en 2005 quils avaient ressuscité le virus de la grippe espagnole en déterrant des cadavres congelés dInuits dAlaska morts en 1918. Et ensuite ? On nous rétorque : « Si on ressuscite le vaccin de la grippe espagnole, il ne sortira pas du labo, foi danimal » (ceci a été officiellement accompli en 2005, à partir de cadavres Inuits). Alors que les observateurs affirment quau vu de lhistoire récente, il y a une majorité de chances que ce virus séchappe du laboratoire (malveillance, erreur, contamination de vaccins, contamination du personnel, etc.). Mais, comme pour le nuage de Tchernobyl, pour celui-ci, cest promis juré, sécurité absolue, il ne peut séchapper. Une question demeure cependant : doù provenaient les fragments du virus de 1918 présents dans le virus de la grippe A ? Limmunisation naturelle et le paradoxe du vaccin On pourrait observer que la disparition de la grippe espagnole est probablement indépendante de la vaccination à lépoque ; les scientifiques officiels affirment même quil y a eu depuis une immunisation des populations concernant ce virus sans aucun vaccin, grâce à la réaction naturelle des organismes et de lespèce humaine donc. Même contradiction pour les maladies enfantines, souvent bénignes, où lon affirme dun côté quune première maladie à cet âge est censée immuniser lindividu à vie, de lautre quil faut « éviter la maladie » par le vaccin (pas dimmunité à vie). Dans son livre « Vaccination, loverdose », Sylvie Simon explique que les virus, comme les microbes, sont indispensables à la vie, et que certains, peut-être dangereux autrefois mais apprivoisés depuis par lespèce humaine, jouent aujourdhui un rôle vital pour la survie de lespèce, y compris dans la reproduction de lhomo sapiens. Faut-il donc « éradiquer » les virus, ou les apprivoiser ? Il est possible que la vaccination, en interrompant ce processus dapprivoisement et en favorisant les mutations vues plus haut, empêche donc la domestication de certains virus par lespèce humaine et met sa survie en danger. Vitamines contre métaux lourds On
voit se développer des campagnes sur les risques des produits
fortifiants, vitamines et autres, on apprend linterdiction de
remèdes traditionnels à base de plantes, de pseudo-doses
à ne pas dépasser, alors que ces remèdes sont ingérés
oralement, généralement par des adultes éclairés
; ainsi, les lobbies sont en train de mener une attaque en règle
contre tous les compléments alimentaires pour les interdire ou
ramener les doses à un niveau inefficient. Outre de nombreuses affections neurologiques, des recherches récentes ont même trouvé un lien entre métaux lourds et autisme (enfants), ainsi quAlzheimer (personnes âgées) et des expériences montrent que la désintoxication de lorganisme quant aux métaux lourds peut même guérir ces enfants autistes de tout symptôme. Pour limmunogénéticien de renommée mondiale, le Dr Hugh Fudenberg, dont les articles ont été publiés dans nombre de publications scientifiques, un individu ayant reçu 5 vaccins consécutifs contre la grippe a dix fois plus de chance de contracter la « maladie » dAlzheimer, à cause, entre autres, de laluminium mais aussi du mercure contenus dans les vaccins. De même, certains chercheurs ont établi un lien entre myofasciite à macrophages (MFM) et les injections de vaccins (dans 100% des cas de myofasciite étudiés par une équipe de chercheurs français en 2001). En effet, cette maladie, tout comme la sclérose en plaques, était accompagnée de résidus daluminium au point dinjection du vaccin parfois jusquà huit ans après ladministration dun vaccin. Bien que lOMS et les agences de sécurité sanitaires françaises et américaines, aient recommandé de poursuivre les recherches sur les effets de lhydroxyde daluminium, il semble que celles-ci soient quelque peu bloquées actuellement. Les
virus inertes nétant pas capables dimmuniser par
eux-mêmes, il faut bien souvent ajouter un certain nombre de composants
et métaux toxiques (Aluminium, etc.) pour provoquer une réaction,
en quantité dépassant largement les doses limites recommandées.
Ainsi les observateurs calculent quun enfant va recevoir par injection
directe une dose cumulée de près de 8000 mg daluminium
toxique en lespace de 2 ans, qui vont saccumuler dans les
tissus nerveux, alors que la dose maximum préconisée par
lOMS est de 100 mg. Vers un débat sérieux ? Le
vrai problème est quil ny a pas de débat ;
chacun avançant ses arguments et progressant dans sa logique.
Or, la virologie est une science récente, avec peu de recul,
qui demande une véritable recherche fondamentale dégagée
de tout intérêt commercial. Pour
introduire un minimum dimpartialité, il faudra que lEtat
cesse de se défausser sur les grands groupes pharmaceutiques,
et assume courageusement un certain nombre de recherches scientifiques
fondamentales, ce qui implique de garantir leur financement. Gilles Carat Références
:
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