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CAP Liberté de Conscience - Liberté de religion - Liberté thérapeutique

Vers un « Grenelle » de la vaccination ?

Par Gilles Carat

décembre 2009

 

 

Un récent sondage révélait qu’une majorité du personnel médical français ne se ferait pas vacciner contre la grippe A, situation inimaginable il n’y a guère. Selon un autre sondage réalisé début novembre pour Santé Magazine, seuls 19,3% des Français avaient l'intention de se faire vacciner contre la grippe A H1N1. De même, le Syndicat National des Infirmiers (SNPI) CFE-CGC déclarait le 21 septembre 2009 : "Une vaccination massive contre un virus grippal relativement bénin présente des risques, du fait d'un vaccin développé trop rapidement, et d'un adjuvant susceptible de déclencher des maladies auto-immunes (...) ; le remède risque d'être pire que le mal". Début décembre, la Direction de la santé annonçait triomphalement un revirement de l’opinion en faveur de la vaccination, visible selon elle dans le fait qu’on avait déjà vacciné … 1% de la population !

Il y a quelques années, Christine Boutin en personne a émis publiquement des réserves en pleine Assemblée Nationale quand à la pertinence de certaines vaccinations. L’obligation vaccinale quant à l’emblématique BCG a même été levée en France, patrie de Pasteur, en 2006. Alors que les tabous tombent sur ce sujet éminemment « identitaire » - et donc fortement idéologique - pour la France, il serait temps de lancer un vrai débat contradictoire ainsi que des études indépendantes sur les effets, avantages et inconvénients des vaccins, en sortant des anathèmes et des argumentations parcellaires. En effet, nous avons droit actuellement à un véritable dialogue de sourds (avec des partisans qui s’ignorent).

Examinons donc brièvement, comme le ferait un journaliste généraliste non médecin, les éléments qui plaident pour un véritable droit d’inventaire sur plus d’un siècle de théories et pratiques vaccinales, et dégageons les zones controversées qui devraient faire l’objet d’études exhaustives et indépendantes.

D’un côté, une vaccination de masse soutenue par une valse des chiffres :
danger mis en avant

Concernant la grippe A proprement dite qui occupe l’actualité, il faut rappeler que 5000 personnes meurent en France chaque année de la grippe « saisonnière », contre tout juste une centaine début décembre (outre-mer compris) pour la grippe A. Nous découvrons également que le seuil épidémique est ici fixé à 164 cas pour 100 000 individus (admirons la précision), ailleurs c’est 108 cas pour 100 000 (tout aussi précis), soit 1 individu pour 6000. Certes, la présence de nouvelles souches contre lesquelles les populations sont peu ou pas immunisées fait aussi partie de cette définition. Lorsque l’on cherche à obtenir des chiffres, on observe de larges variations d’un institut à l’autre.

Côté nécessité de la vaccination, on fait surtout valoir le côté dangereux et inévitable d’un nouveau fléau surnommé grippe A, plus que les avantages précis du vaccin lui-même. Dans la mesure où la grippe A s’est répandue au printemps, saison peu propice aux grippes, on avance l’hypothèse hasardeuse que cette épidémie serait beaucoup plus dangereuse durant la saison automne/hiver.

D’autre part, alors que les grippes habituelles tuent essentiellement les personnes vulnérables (90% de cas mortels concernent des sujets de plus de 60 ans), ainsi que des personnes déjà atteintes d’affection chroniques, ou des nourrissons, la grippe A, tout comme la grippe espagnole en son temps, touche également des sujets jeunes et supposés en bonne santé.

On pourrait rétorquer que dans le cas de la récente grippe aviaire si menaçante, aucun cas n’a été recensé dans les pays industrialisés. L’OMS avait alors émis l’hypothèse d’une pandémie gigantesque mais le virus H5N1 s’est avéré moins transmissible que prévu.

Les campagnes officielles sont beaucoup plus prolixes sur les statistiques de l’épidémie (peu impressionnantes) que sur les avantages et inconvénients précis de la vaccination, où l’on ressasse bien souvent le credo de l’école primaire.

Or, depuis une dizaine d’années, un nombre croissant d’acteurs de santé brise le tabou et les certitudes et fait apparaître les risques et effets secondaires des vaccinations sur les enfants et les personnes âgées, demandant des études sérieuses sur ce sujet. La réalité et l’honnêteté même des expériences de Pasteur a récemment été mise en cause lorsque les archives ont été explorées à l’occasion du centenaire de sa mort.

Comme pour le vaste sujet de société qu’est l’environnement, il serait souhaitable de remettre tout le sujet à plat et d’organiser un véritable « Grenelle de la vaccination » pour confronter les points de vue, et confier à des organismes indépendants (pas facile) le soin de défricher le terrain. Voici donc un petit résumé non exhaustif des points soulevés qui devraient faire l’objet d’études indépendantes, hors lobbies.

Les questions auxquelles devraient
répondre un « Grenelle » de la vaccination

Est-ce qu’on ne privilégie pas la « défense contre les microbes », au détriment d’une compréhension et du renforcement du système immunitaire ?

L’immunologie classique considère l’action globale d’un système capable ou pas de résister aux maladies, la maladie étant la résultante d’un ensemble de dysfonctionnements du système immunitaire. Citons le Pr Jean DAUSSET, Prix Nobel de Médecine en 1980 qui, avec ses travaux sur les lymphocytes propres à chaque individu, confirme l'unicité de l'identité biologique et prévoit que : "La vaccination des enfants contre toute une série de maladies pourrait être bientôt une pratique du passé." Le Dr Cirenéi (1963) étudie la nature endogène des microbes, en accord avec les théories de Béchamp étouffées en leur temps par Pasteur. Cette thèse est confortée par de grands scientifiques comme le Pr Jean Bernard ou Joel de Rosnay qui, bien qu’appartenant à l’Institut Pasteur, affirmait que "grâce aux microbes reprogrammés, il ne serait plus nécessaire d'infester l'organisme avec des microbes tués ou affaiblis." C’était avant le rachat de Pasteur par Mérieux, puis par Sanofi.
Il semble bien que les politiques de santé occultent le rôle majeur de l’immunité et de la santé de l’organisme. Peut-on parler de vaccination sans parler du mécanisme naturel de l’immunité ?

Certains font valoir que, en réduisant l’affaire de l’infection à un problème de vaccination ou pas, on déresponsabilise l’individu face à la nécessité de maintenir son système immunitaire en bon état. En fait, toutes les pratiques visant à renforcer l’immunité sont systématiquement occultées dans les campagnes officielles : c’est le black out total. Hygiène, oui parfois, immunité, non.

Le facteur psychologique déclenchant (peur d’attraper la maladie, dépression, stress) est également systématiquement évacué. Cette peur est souvent renforcée ou créée de toutes pièces par les campagnes officielles.

En promouvant la solution marchande comme remède quasi unique (production de vaccins), on en vient finalement à une non compréhension du phénomène de la maladie dans son ensemble.

Le vaccin modifie-t-il le système immunitaire et
favorise-t-il la prolifération de nouvelles souches ?

On connaît le raisonnement sur les antibiotiques : ceux-ci auraient un rôle mutagène, et favoriseraient la création de souches plus résistantes, en opérant une sorte de sélection des souches existantes et une mutation de celles-ci.

Si l’on prend l’exemple du Gardasil, vaccin contre le cancer du col de l’utérus, les docteurs Carlos Alvarez-Dardet et de Juan Gervas mettent en garde : «administré alors qu’il n’était pas nécessaire (puisque les défenses immunitaires suffisaient dans la plupart des cas), ce vaccin a abouti à l’apparition de souches résistantes aux traitements. Ainsi, l’intervention humaine dans un domaine où le système immunitaire était largement compétent auparavant a créé un problème de santé publique là où il n’y en avait pas… »

Les vaccins favorisent-ils l’apparition d’autres maladies ?

Au-delà du problème de la favorisation de « nouvelles souches » d’un certain virus, tout vaccin quel qu'il soit amoindrit les défenses immunitaires en perturbant le rapport entre les différents types de lymphocytes, ce qui rend le sujet plus vulnérable aux infections opportunistes qui profitent de la brèche ouverte. Le vaccin immobilise également une partie des « forces défensives » en les spécialisant contre un « seul ennemi », excellente tactique de leurre qu’un stratège voulant s’emparer de la place forte utiliserait pour affaiblir les forces défensives. Ainsi ledit « vaccin » contre le cancer du col de l’utérus, et parfois même le vaccin de la grippe favorisent-ils l’apparition d’autres maladies opportunistes (profitant de l’affaiblissement immunitaire dû au vaccin).

Ainsi, en 1981, des études à Vienne ont démontré que le vaccin anti-tétanos provoquait un état de « pré-sida » chez les patients vaccinés, du 3è au 14è jour après la vaccination, propice à toutes les infections.

De plus, en « sur-stimulant » le système immunitaire par des adjuvants inertes (aluminium, mercure, etc.) et en l’épuisant, certains vaccins ouvrent un boulevard aux autres infections.

Les vaccins contiennent-ils des éléments génétiquement perturbant ?

Pour illustrer l’aspect « pollution génétique » des vaccins à l’échelon mondial, plusieurs chercheurs ont établi la corrélation entre la carte de la vaccination antivariolique en Afrique et les pays à grand taux de contamination du Sida. La cause pourrait être l’infection de vaccins par des virus. En effet, selon le docteur Louis de Brouwer, consultant auprès de l’ONU, le virus de la vaccine (introduit via le vaccin anti-variolique) contient tout le capital génétique du VIH et peut donc provoquer la reconstitution de celui-ci dans l’organisme du vacciné, hypothèse que le Pr Gallo lui-même n’écartait pas dans une interview au Times le 11 mai 1987.

Le professeur Albert Sweitzer, prix Nobel en 1952, avait constaté quant à lui que les premiers cancers en Afrique étaient apparus cinq années après les premières campagnes vaccinales.

De même, on apprit que plusieurs centaines de milliers de soldats américains avaient été contaminés pendant la Seconde Guerre mondiale par le virus de l’Hépatite B (alors inconnu) contenu dans le virus de la fièvre jaune.

Si l’on examine la constitution chimique et biologique des vaccins, les virus sont cultivés bien souvent dans des bouillons contenant des cellules animales, voire sur des cellules tumorales de reins de chiens, ce qui favoriserait une interpénétration homme/animal et l’émergence de virus polyvalents, ainsi que l’injection dans le sang de matériaux biologiques animaux. En effet, pour pouvoir conserver les virus, on les fait parfois survivre dans des cellules rendues immortelles par un procédé de « cancérisation » artificielle, cellules nourries avec du sérum de veau (lui-même porteur potentiel de prions responsables de la vache folle) et le vaccin (pur à 95% seulement) peut donc parfois contenir du matériau génétique cancérigène.

Le rapport 747 de 1986 de l'OMS, signalait qu'on pouvait retrouver dans le produit final du vaccin contre l’Hépatite B des protéines capables de cancériser d'autres cellules, et surtout de l'ADN provenant de cellules de culture, contenant notamment des fragments du génome de deux virus, le SV 40, virus de singe et le MMTV, virus de la tumeur mammaire de la souris.

Les leçons de l’histoire plaident-elles réellement
en faveur de la vaccination ?

Un certain nombre de grands fléaux du passé comme la peste ou la lèpre ont disparu – du moins les grandes épidémies - par le simple progrès de l’hygiène et des précautions alimentaires. D'une manière générale, le recul des maladies a toujours commencé bien avant l'introduction des vaccins. Les pays où renaissent les grandes maladies du passé (diphtérie, poliomyélite), sont par contre souvent ceux qui ont une très bonne couverture vaccinale (exemple : pays de l’Est). Mutations ? Pollution génétique ? « Résurrection artificielle » de souches disparues ?

L’hygiène semble dans tous les cas – notamment dans le cas de la grippe A - un facteur décisif, sinon LE facteur décisif de régression de la maladie.

C’est ce que constatait l’OMS après un échec relatif de campagnes de vaccination antivarioliques à grande échelle, comme par exemple aux Philippines où une campagne de vaccination dans les années 1920 avait fait monter le taux de contamination de 10% à 54% (contre 11% chez ceux qui avaient refusé de se faire vacciner).

Dans un communiqué officiel du 28 novembre 1972, l’OMS déclarait : « La première [observation] était que même dans la population vaccinée à 90%, on pouvait assister à des flambées épidémiques. La seconde était qu’avec ce type d’approche [l’hygiène], on pouvait faire complètement échec à la transmission, même lorsque l’incidence variolique était élevée et les taux d’immunisation très faibles. »

A l’inverse, alors qu’il n’y avait plus aucun cas de variole déclaré dans le monde, la vaccination contre ce virus perdura en France jusqu’en 1982, et l’on estime que 200 à 400 cas d’encéphalites, parfois mortelles, étaient provoquées chaque année par ce vaccin. Pendant la seconde guerre mondiale, la fréquence du tétanos était 7 fois plus grande dans l’armée française (vaccinée) que dans l’armée grecque (non vaccinée). La France et le Portugal détiennent le record de cas de tétanos ; or, dans ces deux pays, la vaccination anti-tétanique est obligatoire.

De même, la récente guerre du Golfe a montré une flambée de graves maladies auto-immunes chez les soldats revenant du front … mais aussi chez ceux qui étaient restés chez eux (car ayant subi les mêmes vaccinations) ! En accusation, le squalène, adjuvant de vaccins. On masqua cette déroute en faisant subir à ces soldats à l’organisme gravement atteint de pseudo-traitements psychiatriques dégradants et souvent débilitant.

L’institution, voire le « monument national » du BCG étant un échec patent (davantage d’effets secondaires et de maladies graves induites que de patients « sauvés » de la tuberculose, réapparition de la tuberculose dans les pays vaccinés), son caractère obligatoire a été supprimé.

Quant aux animaux, en 1980, une campagne de vaccination des lapins contre la myxomatose dans les élevages bretons décima littéralement des dizaines d’élevages.
Là encore, il faudrait ressortir les courbes historiques, puis étudier les différents facteurs (hygiènes, traitements, vaccins, etc.), ainsi que les statistiques de patients vaccinés ayant contracté la maladie.

La technique de vaccination n’est-elle pas
entachée d’un péché originel (idéologie) ?

Les centenaire de la mort de Pasteur (1995) a été l’occasion pour les chercheurs d’exhumer nombre d’archives inédites, et de constater que la création même de cette théorie a été entachée d’une certaine malhonnêteté quand aux expérimentations, en France du moins.
Or, dès que l’on constate que des scientifiques veulent interdire ou discréditer de façon non scientifique des théories et expériences concurrentes, on devrait suspecter systématiquement leurs travaux. Voir le cas édifiant de Mirko Beljanski, chercheur titulaire à l’Institut Pasteur, dont les découvertes ont été systématiquement étouffées car contraires au nouveau dogme français Nobelisé concernant le rôle de l’ADN.

De même, le Pr Delbet avait rédigé en 1942 un rapport d’expériences concluant que le Chlorure de Magnésium pouvait guérir la diphtérie, mais il se heurta à une forte opposition de l’Académie de Médecine qui interdit la publication du rapport, selon des arguments frappants : « en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l’intérêt est de généraliser ces vaccinations. »

La théorie vaccinale, née à la fin du XIXè siècle, à un moment où l’immunité était peu ou pas connue, est-elle toujours valable ? Est-elle une simple survivance anachronique comme semblent le penser de nombreux scientifiques ? Et la « médecine » préventive chasse-t-elle vraiment les maladies ?

Les campagnes de sensibilisation aux épidémies
futures ne participent-elles pas à la propagation de celles-ci ?

On sait que la peur et le stress sont des facteurs propices à l’apparition de la maladie. Comme l’affirmait Jung, « il n’existe aucune protection contre les épidémies psychiques ». La campagne internationale sur « les dangers à venir du fléau grippe A », sur « l’arrivée imminente de l’épidémie », etc. semblait vouloir provoquer une véritable psychose peu en rapport avec les faits, elle-même propre à précipiter la maladie. Heureusement, il semble que l’espèce humaine soit en train d’apprivoiser le virus de la panique provoquée, grâce à une meilleure éducation politique et à une certaine liberté de l’information favorisée par Internet, et ce virus d’un type spécial a de plus en plus de mal à affecter le corps social.

Maîtrisons-nous bien les conflits d’intérêts dans de telles problématiques ?

Quand Sanofi vend des doses de vaccins, il s’agit de Sanofi-Pasteur (caution scientifique). Quand une salariée de Sanofi Pasteur déclare que la vaccination de masse s’avère obligatoire, c’est au nom de « l’Institut Pasteur » seulement (pas de commerce ici). Un grand spécialiste Français recommande de passer au niveau d’alerte maximum ? Si l’on recherche les textes contenant à la fois son nom + « Aventis » sur Google, on trouve… 20 000 extraits ! (GFort heureusement, le ministère de la Santé n’a pas tenu compte de cette recommandation dans ce cas-là).

Certains scientifiques encadrant le Ministère de la santé
participent par ailleurs à des comités de promotion des vaccins financés par les laboratoires.

Une solution serait d’inclure systématiquement des représentants des utilisateurs dans les comités consultatifs du gouvernement et d’appliquer la loi du 04 mars 2002 sur la démocratie sanitaire (décret du 27 mars 2007), qui exige en effet que, lors de communications écrites ou orales, les professionnels de santé et les membres des agences sanitaires et gouvernementales déclarent leurs liens avec des entreprises et établissements produisant ou exploitant des produits de santé, ou avec des organismes de conseil intervenant sur ces produits. Que Choisir et la Formindep ont d’ailleurs obtenu en mai 2009 une victoire juridique contre neuf autorités médicales françaises, qui ont dû s’engager à signaler leurs liens avec les labos dans toutes leurs « communications » à caractère public.

La piste des laboratoires : et si le virus H1N1
était un virus OGM fabriqué en laboratoire ?

Quand à la propagation des virus proprement dits, de plus en plus de voix scientifiques émettent des doutes sur leur apparition « naturelle ».

En effet, des efforts considérables ont été nécessaires pour percer la complexité du virus A (H1N1). La revue spécialisée Science a publié par exemple un travail très intéressant sur le séquençage de génomes issus de 50 souches virales de la grippe A isolées au Mexique et aux Etats-Unis.

Selon ces résultats, le virus présenterait un tableau génétique bien particulier : « nous avons découvert 8 fragments de gènes différents avec une combinaison qui n’avait jamais encore été rapportée » explique le Dr Rebecca Garten de la Johns Hopkins University à Baltimore aux Etats-Unis, le principal auteur de cette étude. « Certains de ces gènes proviennent de virus grippaux qui circulaient chez les porcs en 1918 et d’autres… en 1998 ». C’est dire le nombre de mutations (naturelles ou provoquées) qui se sont succédé avant la naissance du nouveau virus A (H1N1) !

Différents laboratoires, y compris militaires, travaillent sur des virus et combinaisons de virus aux fins de compréhension de leurs mécanismes, à des fins « défensives » bien entendu.
Or, lorsque l’on examine les modes de propagations de nouveaux virus, on trouve :

La propagation malveillante : exemple l’anthrax après les incidents de sept 2001.

La propagation accidentelle : un virus s’échappe d’un laboratoire.

La propagation nocosomiale : on vaccine la population avec un virus infecté. Il existerait des précédents comme dans le cas de l’hépatite B.

En particulier, des laboratoires militaires américains ont annoncé en 2005 qu’ils avaient ressuscité le virus de la grippe espagnole en déterrant des cadavres congelés d’Inuits d’Alaska morts en 1918. Et ensuite ?

On nous rétorque : « Si on ressuscite le vaccin de la grippe espagnole, il ne sortira pas du labo, foi d’animal » (ceci a été officiellement accompli en 2005, à partir de cadavres Inuits). Alors que les observateurs affirment qu’au vu de l’histoire récente, il y a une majorité de chances que ce virus s’échappe du laboratoire (malveillance, erreur, contamination de vaccins, contamination du personnel, etc.). Mais, comme pour le nuage de Tchernobyl, pour celui-ci, c’est promis juré, sécurité absolue, il ne peut s’échapper. Une question demeure cependant : d’où provenaient les fragments du virus de 1918 présents dans le virus de la grippe A ?

L’immunisation naturelle et le paradoxe du vaccin

On pourrait observer que la disparition de la grippe espagnole est probablement indépendante de la vaccination à l’époque ; les scientifiques officiels affirment même qu’il y a eu depuis une immunisation des populations concernant ce virus sans aucun vaccin, grâce à la réaction naturelle des organismes et de l’espèce humaine donc.

Même contradiction pour les maladies enfantines, souvent bénignes, où l’on affirme d’un côté qu’une première maladie à cet âge est censée immuniser l’individu à vie, de l’autre qu’il faut « éviter la maladie » par le vaccin (pas d’immunité à vie).

Dans son livre « Vaccination, l’overdose », Sylvie Simon explique que les virus, comme les microbes, sont indispensables à la vie, et que certains, peut-être dangereux autrefois mais apprivoisés depuis par l’espèce humaine, jouent aujourd’hui un rôle vital pour la survie de l’espèce, y compris dans la reproduction de l’homo sapiens. Faut-il donc « éradiquer » les virus, ou les apprivoiser ? Il est possible que la vaccination, en interrompant ce processus d’apprivoisement et en favorisant les mutations vues plus haut, empêche donc la domestication de certains virus par l’espèce humaine et met sa survie en danger.

Vitamines contre métaux lourds

On voit se développer des campagnes sur les risques des produits fortifiants, vitamines et autres, on apprend l’interdiction de remèdes traditionnels à base de plantes, de pseudo-doses à ne pas dépasser, alors que ces remèdes sont ingérés oralement, généralement par des adultes éclairés ; ainsi, les lobbies sont en train de mener une attaque en règle contre tous les compléments alimentaires pour les interdire ou ramener les doses à un niveau inefficient.
Par contre, on ne voit aucun danger à l’injection de métaux lourds à des doses réputées toxiques sur de jeunes organismes, avec une répétition qui confine à l’acharnement. La toxicité des vaccins (aluminium, mercure) n’est jamais mentionnée dans les textes officiels. On se contente de statistiques sur les effets secondaires tirées d’études faites par d’autres, en général « insuffisantes » d’ailleurs – donc pas de conclusions. Certains vaccins contre la grippe saisonnière par exemple contiennent de l’éthyl de mercure chloré, produit hautement toxique.

Outre de nombreuses affections neurologiques, des recherches récentes ont même trouvé un lien entre métaux lourds et autisme (enfants), ainsi qu’Alzheimer (personnes âgées) et des expériences montrent que la désintoxication de l’organisme quant aux métaux lourds peut même guérir ces enfants autistes de tout symptôme. Pour l’immunogénéticien de renommée mondiale, le Dr Hugh Fudenberg, dont les articles ont été publiés dans nombre de publications scientifiques, un individu ayant reçu 5 vaccins consécutifs contre la grippe a dix fois plus de chance de contracter la « maladie » d’Alzheimer, à cause, entre autres, de l’aluminium mais aussi du mercure contenus dans les vaccins.

De même, certains chercheurs ont établi un lien entre myofasciite à macrophages (MFM) et les injections de vaccins (dans 100% des cas de myofasciite étudiés par une équipe de chercheurs français en 2001). En effet, cette maladie, tout comme la sclérose en plaques, était accompagnée de résidus d’aluminium au point d’injection du vaccin parfois jusqu’à huit ans après l’administration d’un vaccin. Bien que l’OMS et les agences de sécurité sanitaires françaises et américaines, aient recommandé de poursuivre les recherches sur les effets de l’hydroxyde d’aluminium, il semble que celles-ci soient quelque peu bloquées actuellement.

Les virus inertes n’étant pas capables d’immuniser par eux-mêmes, il faut bien souvent ajouter un certain nombre de composants et métaux toxiques (Aluminium, etc.) pour provoquer une réaction, en quantité dépassant largement les doses limites recommandées. Ainsi les observateurs calculent qu’un enfant va recevoir par injection directe une dose cumulée de près de 8000 mg d’aluminium toxique en l’espace de 2 ans, qui vont s’accumuler dans les tissus nerveux, alors que la dose maximum préconisée par l’OMS est de 100 mg.
Les laboratoires Pasteur-Vaccins avaient apparemment mis au point des vaccins utilisant le phosphate de calcium comme adjuvant non toxique, mais cette technique aurait été abandonnée après le rachat par Mérieux.

Vers un débat sérieux ?

Le vrai problème est qu’il n’y a pas de débat ; chacun avançant ses arguments et progressant dans sa logique. Or, la virologie est une science récente, avec peu de recul, qui demande une véritable recherche fondamentale dégagée de tout intérêt commercial.
Dans ce débat, chacun doit décliner ses « intérêts ». Si l’on parle de la balance « bénéfices / inconvénients », parle-t-on du court terme (éviter à tout prix que l’individu ne tombe malade / immunisation naturelle), du moyen terme (accumulation de produits toxiques, mutations favorisées), du long terme ?

Pour introduire un minimum d’impartialité, il faudra que l’Etat cesse de se défausser sur les grands groupes pharmaceutiques, et assume courageusement un certain nombre de recherches scientifiques fondamentales, ce qui implique de garantir leur financement.
Une chose est sûre, comme le recommandait récemment le Comité national d’éthique pour les sciences de la vie, « le public doit à tout instant être en mesure de comprendre si l’information qui lui est transmise est d’ordre scientifique ou procède d’une démarche publicitaire. » Quand il s’agit de vie ou de mort, c’est bien le minimum.
Souhaitons donc que s’organise un véritable débat contradictoire, un véritable « Grenelle » de la vaccination, regroupant tous les acteurs – y compris les « technico-publicitaires » -, qui détermine un plan stratégique d’exploration et de validation de ces différents sujets. Et que les résultats soient publiés au fur et à mesure et disponibles pour la population.

Gilles Carat

Références :
Parmi de nombreuses références, le livre de Sylvie Simon « vaccins, l’overdose », éditions Dj.

 

 

 


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