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CAP Liberté de Conscience - Liberté de religion - Liberté thérapeutique

ÉTHIQUE… et TOC…

Par Roselyne Morel

février 2009

 

ARTICLE 3 de la Charte des Droits Fondamentaux de l’Union européenne (DROIT A L’INTEGRITE DE LA PERSONNE) :

« Toute personne a droit à son intégrité physique et morale.Dans le cadre de la médecine et de la biologie, doivent notamment être respectés : le consentement libre et éclairé de la personne concernée, selon les modalités définies par la loi, l’interdiction des pratiques eugéniques… »

Parlons du consentement « libre et éclairé » : c’est la délivrance au patient de l’information concernant sa maladie, ses possibles conséquences, celle des traitements appropriés (tous !), les risques encourus par le traitement choisi. Concrètement, chacun a t’il conscience que cette information émane tout simplement du laboratoire fabricant, validée par les experts que ce dernier a choisis, confortée par des études dans des services hospitaliers qui en remerciement ont bénéficié de généreuses donations ou subventions par le même laboratoire ou l’une quelconque de ses succursales – discrétion oblige, soutenue au besoin par des journalistes payés si grassement qu’ils en oublient leur b-a-ba déontologique, et se disputant la primeur de la désinformation….

Sans parler du trop fréquent chantage pratiqué sur le patient réticent à intégrer les protocoles proposés, quand le refus du traitement donne l’opportunité au soignant de la menace de récidive inéluctable, programmée par l’irresponsabilité évidente de la personne concernée. Au point de la poursuivre parfois en justice…

Consentement libre et éclairé, ou manipulation orchestrée ?

Que dire du « droit à son intégrité physique et morale » ? Ablations d’utérus, du ou des seins, d’organes, sous prétexte de prévention, traitements déformant le corps, vaccins amputant définitivement la santé, accidents mortels par maladies nosocomiales, radiothérapies surdosées, semblent être le prix actuel du droit à « l’intégrité physique ». Sueurs froides dans le dos… devant les mutilations acceptées avec philosophie, le degré d’agression physique toléré dans l’espoir d’une illusoire santé…. Serions-nous collectivement atteints du syndrome de Munchhaüsen ?

Le temps est fini du rêve de la santé gratuite pour tous, de la régulation collective de la « santé » - revendications syndicales ou politiques – comme de l’imaginaire décision médicale prise dans un regard unique et adapté à son besoin – rêve ou croyance du patient. Le temps est fini, de la prise en charge par la collectivité du coût de la santé, sous prétexte de solidarité, avec son corollaire de déresponsabilisation. Le temps est là, pour la gestion sociétale ET individuelle des risques collectifs (pollutions de l’air, de l’eau, par les industries comme par les comportements personnels). Le temps est là, de la reconnaissance que la santé est un bien propre, le résultat de la relation intime de chacun avec lui-même, son corps physique, ses ressentis, ses croyances profondes, dans l’expression du respect de soi dans toutes ses dimensions.

Là se situent éthique, respect de l’intégrité, liberté et choix consentis.

 

Source : http://liberte-therapeutique-caplc.com/les-nouvelles-du-front/

 


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