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Quinze ans de loi About-Picard : coup de projecteur sur la « manipulation mentale »

source :
debredinoire.fr

juin 2016

 

Pour « fêter » les 15 ans de la loi sur les « mouvements sectaires » (loi About-Picard), nous avons voulu apporter un éclairage original sur son concept central, l’emprise mentale, nommée juridiquement « abus de faiblesse de personne en état de sujétion psychologique ou physique ».

En fait, « l’état de sujétion psychologique » n’existe pas. Cette formulation a été employée pour éviter les termes de « manipulation mentale ». C’est un crime inventé de toutes pièces par le législateur français le 12 juin 2001 pour pouvoir agir contre ce qu’il appelait alors les « sectes » ou les « mouvements sectaires » sans que ceux-ci aient rien judiciairement à se reprocher.

Ce crime n’a absolument aucun fondement scientifique et constitue une escroquerie sur le plan philosophique. C’est ce que nous allons développer dans cet article.

Cet énorme scandale judiciaire et humain, la société l’a pourtant facilement accepté et en nourrit même constamment le fantasme.

Énorme duperie

Produit iconographique typique du fantasme "antisecte" français qui recouvre la plupart du temps une peur ou une haine de la spiritualité.

Les médias sont au troisième rang des instigateurs de cette énorme duperie derrière le gouvernement (parlementaires, Miviludes, ministères) et les innombrables lobbies de l’intolérance spirituelle et thérapeutique : Unadfi, CCMM, Gemppi, Sentinelle, Vigisectes, Prévensecte, PsyVig, Conseils de l’ordre des médecins et de la pharmacie, etc.

Avant d’apporter la lumière sur cette incrimination nouvelle dans le droit français, une précision importante. Nous ne nions pas qu’il y ait des dérives dans certains groupes religieux ou de la part de praticiens des médecines non conventionnelles. Ces dérives occasionnent des préjudices et des souffrances que la société se doit de repérer, de sanctionner et d’empêcher.

La société doit s’organiser pour ce faire, notamment en créant des lieux d’écoute des victimes éventuelles liés à des procédures de médiation (et non d’inquisition comme aujourd’hui). Les actions de répression ne devraient intervenir que dans un deuxième temps.

Ensuite, cette organisation doit toucher tous les secteurs de la société (entreprises, partis, religions, associations mais aussi familles) et non seulement les mouvements dits « sectaires », cette spécification constituant déjà à notre sens une discrimination interdite pourtant par la loi.

Lire la suite : http://debredinoire.fr/manipulation-mentale-quinze-ans-de-loi-about-picard/

Source : http://debredinoire.fr/

PUBLICATION CAP LIBERTE DE CONSCIENCE

La sujétion psychologique » une mine flottante juridique

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