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CAP Liberté de Conscience - mars 2012

Remous ambigus autour de la législation sur les vaccins
Par Gilles Carat
mars 2012

 

 

assemblée nationale vaccinationLe Groupe d’études sur la vaccination de l’Assemblée Nationale a émis un certain nombre de recommandations le 13 mars, prévoient entre autres :

- d’effectuer des recherches sur un nouveau mode d’administration du BCG (qui n’est plus obligatoire en France) pour pouvoir l’administrer plus facilement.

- d’établir un moratoire sur les adjuvants à l’aluminium dans l’ensemble des vaccins.

- de continuer les études sur les bénéfices / risque desdits « vaccins » du cancer du col de l’utérus.

- de former les médecins à la vaccinologie (ils ne reçoivent que quelques heures de cours dans leur cursus !)

- de réglementer l’utilisation du terme « vaccin », ce qui viserait notamment ... l’homéopathie.

- de respecter strictement le calendrier vaccinal, notamment en insistant sur les rappels, tout en évitant les vaccins non utiles (pas facile).

Et enfin, la dernière mesure phare : rendre le vaccin contre la rougeole obligatoire en France.

Des mesures donc qui ménagent la chèvre et le chou, mais qui n’abordent aucunement le principal problème concernant les vaccins : leur nocivité éventuelle à court, moyen et long terme pour le système immunitaire, adjuvants mis à part.

Par exemple, dans le cas de la rougeole, certaines données statistiques récentes françaises font état d’une recrudescence de la maladie, en particulier chez les adultes, avec des cas de décès. Pour justifier l’obligation de vaccination contre la rougeole, des statistiques françaises font état de 96% de non-vaccinés chez les malades ayant contracté la rougeole.

Mais il faut prendre ce chiffre avec des pincettes et se rappeler qu’un expert américain de la Food and Drug Administration écrivait en 1887 que les vaccins n’assuraient pas nécessairement une protection efficace et mesurable en dépit de communications optimistes, en particulier françaises. Donc, une certaine méfiance outre-Atlantique vis-à-vis des statistiques françaises sur les vaccins, et pour cause : en dépit d’une vaccination quasi systématique contre la rougeole aux États-Unis pendant trente ans, on relève encore des taux allant de 75 à 97% des personnes infectées qui étaient vaccinées, et un nombre de décès multiplié par 25 au terme de ces campagnes (voir le livre de Sylvie Simon, Vaccination, l’overdose). En bref, exactement le contraire des données françaises.

En 1975, le ministre de la santé Allemand a décidé l’arrêt de la vaccination contre la rougeole, déclarant : « Son efficacité médicale n’est pas prouvée, tandis que sa toxicité est démontrée. » La Suède l’avait précédé en supprimant cette vaccination en 1970.

En effet, le débat sur les vaccins ne se résume pas au « nombre de personnes qui attrapent la maladie », mais aux effets « toxiques », comme dirait l’ex-ministre de la santé allemand, sur l’organisme et le système immunitaire. En 1998, le Dr Andrew Wakefield a publié dans le journal Lancet, avec un certain nombre de confrères très réputés, une étude établissant un lien potentiel entre le vaccin ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole) et l'autisme. Il est depuis interdit de publication.

Ces effets négatifs sont extrêmement nombreux et variés, souvent graves, mais ils se manifestent souvent avec un décalage pouvant aller jusqu’à une décennie, voire plus, ce qui a tendance à évacuer le débat. On peut citer tout de même que :

- La production d’anticorps n’est pas synonyme de protection, certains anticorps étant même appelés « facilitateurs » de la maladie.

- La structure des virus (et donc ceux que l’on injecte dans les doses de vaccins) est tout particulièrement adaptée pour attaquer la myéline du système nerveux, d’où certains attaques et lésions permanentes.

- Les virus atténués ne le restent pas forcément, une fois qu’ils ont passé la barrière des intestins et peuvent se recomposer avec d’autres virus plus virulents.

- Les vaccins obligatoires sont généralement couplés avec des vaccins non obligatoires, sachant que l’introduction simultanée de plusieurs virus différents dans l’organisme augmente les chances de complications et de recombinaisons / mutations des virus.

- La plupart des vaccins créent une faiblesse temporaire du système immunitaire (plusieurs semaines), qui laisse alors passer d’autres infections opportunistes. Parfois, leur présence active des virus dormants. C’est notamment le cas pour le VIH, dont certains experts disent qu’il aurait été grandement « aidé » par le vaccin antivariolique, qui contenait tout le matériel nécessaire pour permettre au VIH (très inoffensif à l’état dormant) de devenir virulent. Aujourd’hui encore, les vaccins devraient être fortement déconseillés aux porteurs passifs du virus VIH, dont le nombre n’est pas négligeable. Les « sujets à risques » sont donc les plus vulnérables aux vaccins (mais la « cible » privilégiée des politiques sanitaires).

- Pour ce qui est du vaccin contre la rougeole, on est encore en phase d’expérimentation, plusieurs vaccins ayant été retirés au cours des dernières années pour effets secondaires trop importants. Le Japon a même arrêté la vaccination obligatoire en 1993 et indemnisé les victimes. Les vaccins actuels contre la rougeole semblent provoquer une augmentation importante des maladies dégénératives (maladie de Crosne et inflammation des intestins), maladies pratiquement incurables. Les cas d’encéphalites post-vaccinales sont importants. Et encore une fois, le nombre de cas de rougeole augmente rapidement aux États-Unis depuis la mise en place de campagnes systématiques (même avec des couvertures – et non protections – vaccinales à 90%). Ceci est considéré par les autorités comme un échec du « tout vaccination », confirmé par un fabricant de vaccins lui-même, Smith Kline.

Autre bonus, la culture du vaccin de la rougeole sur des cellules de poulets peut contaminer le vaccin avec la leucose aviaire. Tout cela plaide pour la plus grande prudence dans l’administration de ce vaccin.

Si certaines mesures évoquées vont dans le bon sens, la Commission parlementaire semble cependant avoir tenu un raisonnement un peu primaire sur la « couverture vaccinale », comme souvent dans les instances officielles françaises. Et puis, est-il bien sérieux d’élaborer des stratégies à partir de données fournies par les services français, sans tenir compte des expériences, décisions et résultats des autres pays évolués ?

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