CAP
LC 2008
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ENQUÊTES Remous
ambigus autour de la législation sur les vaccins
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Le Groupe détudes sur la vaccination de lAssemblée Nationale a émis un certain nombre de recommandations le 13 mars, prévoient entre autres : - deffectuer des recherches sur un nouveau mode dadministration du BCG (qui nest plus obligatoire en France) pour pouvoir ladministrer plus facilement. - détablir un moratoire sur les adjuvants à laluminium dans lensemble des vaccins. - de continuer les études sur les bénéfices / risque desdits « vaccins » du cancer du col de lutérus. - de former les médecins à la vaccinologie (ils ne reçoivent que quelques heures de cours dans leur cursus !) - de réglementer lutilisation du terme « vaccin », ce qui viserait notamment ... lhoméopathie. - de respecter strictement le calendrier vaccinal, notamment en insistant sur les rappels, tout en évitant les vaccins non utiles (pas facile). Et enfin, la dernière mesure phare : rendre le vaccin contre la rougeole obligatoire en France. Des mesures donc qui ménagent la chèvre et le chou, mais qui nabordent aucunement le principal problème concernant les vaccins : leur nocivité éventuelle à court, moyen et long terme pour le système immunitaire, adjuvants mis à part. Par exemple, dans le cas de la rougeole, certaines données statistiques récentes françaises font état dune recrudescence de la maladie, en particulier chez les adultes, avec des cas de décès. Pour justifier lobligation de vaccination contre la rougeole, des statistiques françaises font état de 96% de non-vaccinés chez les malades ayant contracté la rougeole. Mais il faut prendre ce chiffre avec des pincettes et se rappeler quun expert américain de la Food and Drug Administration écrivait en 1887 que les vaccins nassuraient pas nécessairement une protection efficace et mesurable en dépit de communications optimistes, en particulier françaises. Donc, une certaine méfiance outre-Atlantique vis-à-vis des statistiques françaises sur les vaccins, et pour cause : en dépit dune vaccination quasi systématique contre la rougeole aux États-Unis pendant trente ans, on relève encore des taux allant de 75 à 97% des personnes infectées qui étaient vaccinées, et un nombre de décès multiplié par 25 au terme de ces campagnes (voir le livre de Sylvie Simon, Vaccination, loverdose). En bref, exactement le contraire des données françaises. En 1975, le ministre de la santé Allemand a décidé larrêt de la vaccination contre la rougeole, déclarant : « Son efficacité médicale nest pas prouvée, tandis que sa toxicité est démontrée. » La Suède lavait précédé en supprimant cette vaccination en 1970. En effet, le débat sur les vaccins ne se résume pas au « nombre de personnes qui attrapent la maladie », mais aux effets « toxiques », comme dirait lex-ministre de la santé allemand, sur lorganisme et le système immunitaire. En 1998, le Dr Andrew Wakefield a publié dans le journal Lancet, avec un certain nombre de confrères très réputés, une étude établissant un lien potentiel entre le vaccin ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole) et l'autisme. Il est depuis interdit de publication. Ces effets négatifs sont extrêmement nombreux et variés, souvent graves, mais ils se manifestent souvent avec un décalage pouvant aller jusquà une décennie, voire plus, ce qui a tendance à évacuer le débat. On peut citer tout de même que : - La production danticorps nest pas synonyme de protection, certains anticorps étant même appelés « facilitateurs » de la maladie. - La structure des virus (et donc ceux que lon injecte dans les doses de vaccins) est tout particulièrement adaptée pour attaquer la myéline du système nerveux, doù certains attaques et lésions permanentes. - Les virus atténués ne le restent pas forcément, une fois quils ont passé la barrière des intestins et peuvent se recomposer avec dautres virus plus virulents. - Les vaccins obligatoires sont généralement couplés avec des vaccins non obligatoires, sachant que lintroduction simultanée de plusieurs virus différents dans lorganisme augmente les chances de complications et de recombinaisons / mutations des virus. - La plupart des vaccins créent une faiblesse temporaire du système immunitaire (plusieurs semaines), qui laisse alors passer dautres infections opportunistes. Parfois, leur présence active des virus dormants. Cest notamment le cas pour le VIH, dont certains experts disent quil aurait été grandement « aidé » par le vaccin antivariolique, qui contenait tout le matériel nécessaire pour permettre au VIH (très inoffensif à létat dormant) de devenir virulent. Aujourdhui encore, les vaccins devraient être fortement déconseillés aux porteurs passifs du virus VIH, dont le nombre nest pas négligeable. Les « sujets à risques » sont donc les plus vulnérables aux vaccins (mais la « cible » privilégiée des politiques sanitaires). - Pour ce qui est du vaccin contre la rougeole, on est encore en phase dexpérimentation, plusieurs vaccins ayant été retirés au cours des dernières années pour effets secondaires trop importants. Le Japon a même arrêté la vaccination obligatoire en 1993 et indemnisé les victimes. Les vaccins actuels contre la rougeole semblent provoquer une augmentation importante des maladies dégénératives (maladie de Crosne et inflammation des intestins), maladies pratiquement incurables. Les cas dencéphalites post-vaccinales sont importants. Et encore une fois, le nombre de cas de rougeole augmente rapidement aux États-Unis depuis la mise en place de campagnes systématiques (même avec des couvertures et non protections vaccinales à 90%). Ceci est considéré par les autorités comme un échec du « tout vaccination », confirmé par un fabricant de vaccins lui-même, Smith Kline. Autre bonus, la culture du vaccin de la rougeole sur des cellules de poulets peut contaminer le vaccin avec la leucose aviaire. Tout cela plaide pour la plus grande prudence dans ladministration de ce vaccin. Si certaines mesures évoquées vont dans le bon sens, la Commission parlementaire semble cependant avoir tenu un raisonnement un peu primaire sur la « couverture vaccinale », comme souvent dans les instances officielles françaises. Et puis, est-il bien sérieux délaborer des stratégies à partir de données fournies par les services français, sans tenir compte des expériences, décisions et résultats des autres pays évolués ?
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